épargne Et Les Français

déterminent à la fois : - la richesse créée dans l’économie (PIB), - la façon dont cette richesse se répartit entre les différents agents (salaire/profit) - et l’utilisation de cette richesse (notamment à travers le partage entre consommation et épargne et à travers les conditions de financement de l’investissement). A l’issu de ces opérations réalisées dans la sphère réelle de l’économie, certains agents sont des agents à capacité de financement (en général les ménages qui n’utilisent pas l’ensemble

reformé. Les entreprises sont en situation de besoin de financement et sont donc à la recherche de ressources destinées à financer la trésorerie. La B.E. et l’épargne brute correspond à se qui est disponible pour l’autofinancement. En général, cette épargne est insuffisante pour couvrir les dépenses d’investissement. Ces agents souhaitent dépenser plus que leur revenu et c’est donc pour cela qu’ils sont en besoin de financement. Certaines entreprises peuvent parfois se retrouver en capacité de financement

elles rémunèrent les autres agents lui eyant emprunter d’autres titres. Les ménages ne souscrivent pas directement des titres aux entreprises sur le marché boursier. En effet, le document 2 nous indique que seulement 10% des français détiennent des actions et que les français détiennent majoritairement des OPCVM (20%). Ainsi, ils ne sont pas actionnaires directs mais indirects, puisqu’eux aussi passent et sont contrôlés par les agents financiers. Ainsi, à mon avis, les ménages n’osent pas s’imposer

Il existe deux régimes de retraite par capitalisation et par répartition. Capitalisation Les actifs constituent une épargne, individuelle ou collective, qui est placée sur les marchés financiers grâce à des supports adaptés. Quand ils atteignent l’âge de la retraite, ils puisent dans celle-ci pour financer leur retraite. Les pensions sont donc alimentées par une épargne antérieure, et non par une redistribution des actifs vers les retraités. Les régimes par capitalisation vous proposent de

SICAV = scté d'investissement à capital variable : ce sont les titres émis par les banques que les ménages peuvent acheter. · L : liquidités de l'économie = M3 + l'épargne monétaire à long terme ( + de 5 ans) Ex : les assurances à vie, PEL (plan épargne logement) 2°_ La part relative des agrégats. p64 doc 19 : 3) Quel est la valeur de la quasi-monnaie en France ? Quel est la part de M1 dans M3 ? 453.0/2907 * 100 = 15.58 % la monnaie fiduciaire représente 1/6eme de M1. Valeur de la quasi-monnaie

CONSOMMATION ET EPARGNE Patrick VILLIEU (professeur de sciences économiques à Tours), La Découverte, repères (n° 215), 1997 C = consommation, S = épargne, I = investissement INTRODUCTION La formation de la C et de l’S oppose les partisans d’une approche par la demande (keynésiens) à ceux d’une approche par l’offre (classiques et néo-classiques). La baisse de la consommation depuis 1990 appelle à un réexamen de ses déterminants. Politique économique : Faut-il tenter de relancer la C ou inciter

de consommation l’agent dispose d’une épargne. Si le revenu disponible est inférieur aux dépenses de consommation, cela signifie qu’une partie de la consommation a été financée par le crédit ( comme les entreprises ne peuvent pas faire de dépenses de consommation finale,(elles ne sont pas des sujets "désirants", ayant des "besoins" à satisfaire, pour elles le revenu disponible et l’épargne sont confondus). Donc tous les agents peuvent disposer d’une épargne (le revenu disponible non consommé) qu’ils

Chapitre 2 : La consommation et l’épargne. Nous savons que le revenu dispo’ des agents éco’ a deux affectations possibles, qui sont complémentaires : conso’ et épargne. La conso’, c’est un acte d’acquisition des B. et S. qui sont utilisés pour satisfaire les besoins, essentiellement, ceux des ménages. La consommation procède à la destruction à plus ou moins long terme de ces b. et s. La conso’, c’est aussi le principal emploi du PIB, très exactement 56,9 pourcent en 2009, en Fr. Cela veut dire

8e Finansol - La Croix - Ipsos Le baromètre de la édition I 2010/2011 I SOMMAIRE f Le baromètre 2010 P. 2-3 f Les Français et finance solidaire Avec 1 l’épargne solidaire P. 6-7 f Les placements labellisés Finansol P. 2 à 6 Epargne solidaire, la nouvelle chance V Malgré la crise, l’épargne solidaire a connu une belle croissance en 2009. Alliant sens et sécurité, ces placements s’installent progressivement dans les habitudes ÉDITORIAL François de Witt Président

ménage est l’empreint (ce sont les crédits à la consommation). - -Du coté de l’offre, les ménages offrent leur force de travail (louer un temps de travail) qui est facteur de production, les ménages aussi adopte un comportement d’investissement (épargne : fraction du revenu qui n’est pas consommé). Les ressources du ménage sont les revenus de l’activité (salaires, honoraires), revenu de la propriété (les coupons : revenus d’une obligation, titre de créance; les dividendes : titres du capital (d’une