épargne Et Les Français

En 2011 selon l'Insee, le taux d'épargne des ménages français a atteint 16,8% de leur revenu disponible brut. Jamais depuis 1983, les Français n'avaient eu une épargne aussi importante. Encore aujourd’hui le taux d’épargne en France reste très élevé à environ 15%, Les Français semblent craindre l'avenir et accumulent malgré la protection sociale, d'importantes réserves d'épargne, notamment avec le Livret A qui est le placement préféré des Français : Plus de 60 millions de livrets et 250 milliards en

conséquences : d'une part, les titulaires des plus hauts revenus, ayant une propension à épargner plus forte, disposent aussi du patrimoine le plus important; d'autre part, les ménages les plus âgés, en fin de cycle de vie, ont accumulé un patrimoine plus important que leurs cadets, qui, du fait de leurs difficultés d'insertion professionnelle et d'une relative dégradation de leurs revenus, peinent à réaliser une épargne. • Aux inégalités de revenu et de patrimoine s'ajoutent celles qui concernent le logement

| Introduction: Le 16 dédembre 1673, Colbert, ministre de Louis XIV, instaure une pension de vieillesse pour les officiers de la marine royale, c'est l'acte de naissance de notre système des retraites. Depuis, l’Etat français a beaucoup amélioré la couverture de ses assurances sociales mais c’est à partir de 1945 que le législateur commence à créer un véritable système de retraite couvrant l’ensemble des travailleurs qui est fondé sur la solidarité entre les générations

biens et services et utilise l’offre de travail des ménages Dans ce circuit on suppose que les ménages utilisent tout leur salaire dans la consommation. En réalité : R = C + E. Les ménages ne consomment pas tout leur salaire, il en épargne une partie.  L’épargne peut être mise dans 2 placements : marché bancaire (indirect) marché financier (direct) Revenu de l’épargne = revenu du capital  Ressources des ménages : salaires. - Leur emploi : permet de faire des dépenses pour

F : Bureau Central Français B.E.T : Bureau d'Etudes Techniques B.I.A : Bénéficiaire Intervenant Acceptant B.O.A : Bulletin Officiel des Assurances CATNAT : Catastrophe Naturelle C.C.A : Commission de Contrôle des Assurances ou Commission Consultative d'Arbitrage C.C.A.M : Classification Commune des Actes Médicaux C.C.R : Caisse Centrale de Réassurance C.D.I.A : Centre de Documentation de l'Information de l'Assurance C.E.A : Comité Européen des Assurances C.E.T : Compte Epargne Temps C.F.I.P : Centre

l'investissement. Ils nous disent : S (épargne) entraîne I (investissement). L'épargne est le socle qui va nourrir l'activité économique. Deux interprétations de S entraîne I = Toute décision d'investissement exige que l'épargne correspondante soit d'abord constituée. L'existence d'une épargne conduit naturellement à investir. Toute épargne débouche sur un investissement car la monnaie n'est qu'un instrument au service de l'économie. Si on garde une épargne c'est pour la dépenser plus tard.

I. SYSTEME BANCAIRE FRANÇAIS Dans la distribution le commercial est l’offre et le client est le demandeur, tandis que dans la vante le commercial est le demandeur. Métiers bancaires a pour objectif : 1. Collecter à travers le dépôt pour des raisons sécuritaires 2. Collecter des fonds et faire du profit pour assurer sa pérennité 3. Garder de l’argent 4. Proposer des moyens de paiement. Ex : carte bancaire, les chèques (on donne l’ordre à notre banque pour payer – moyen non payant). 5. Faire

strictement réservée à l’acquéreur et limitée à son usage personnel. Toute autre reproduction ou copie, par quelque procédé que ce soit, constituerait une contrefaçon et serait passible des sanctions prévues par les textes susvisés et notamment le Code français de la propriété intellectuelle et les conventions internationales en vigueur sur la protection des droits d’auteur. Éditions Publibook 14, rue des Volontaires 75015 PARIS – France Tél. : +33 (0)1 53 69 65 55 IDDN.FR.010.0113438.000.R.P.2009

« destiné à des lycéens ». Autant dire que celui proposé par le groupe d’experts ne semble pas, aux yeux de l’association, posséder cette qualité. Comment en est-on arrivé là ? Au départ, un constat partagé, quoique à relativiser, sur l’insuffisante formation des Français en matière économique (et sociale). Ce constat a trouvé le relais de groupes de pression patronaux et, de ce fait, a abouti à la réunion d’une commission d’évaluation des manuels (au départ) et des programmes (à l’arrivée) de sciences économiques

au ménages qui présagent une hausse de l’impôt et épargneront en conséquence. Ils peuvent aussi envisager une augmentation de la masse monétaire synonyme d’inflation et épargner davantage pour conserver la valeur réelle de leur épargne. De plus, les ménages, dans le but de laisser un héritage sont encore une fois enclins à épargner. Pourtant, Barack Obama, président des Etats-Unis, évoque la possibilité d’une taxe sur les banques américaines afin de minimiser les pertes pour le gouvernement à cause