épilogue Les Fleurs Du Mal

| |30 |Maintenant ils sont foule, et maintenant la paix | | |Dans les choux-fleurs de Chicago n'est plus un rêve, | | |Mais la réalité brutale. Et cette paix,

texte (commentaire composé)Biographie de Verlaine· Né le 30 mars 1844. Famille de petite bourgeoisie. Enfance protégée, très attaché à sa mère et sa cousine Elisa = grande sœur adoptive car sa mère est morte.· Dès le lycée (où il avait lu Les Fleurs du Mal), il est intéressé par la littérature et commence à écrire. Au début donc en partie influencé par Baudelaire.· (Etudie le droit à Paris, pour ensuite travailler dans une compagnie d’assurances engagé par son père et comme expéditionnaire à l’Hôtel

[l']unique ambition se bornèrent à un domaine qui ne laisse point de traces dans l'histoire : au royaume évanescent des odeurs ». Il possède ainsi un odorat extrêmement développé, mais n'a lui-même aucune odeur. Dénué de toute notion de bien et de mal, il ne vit que pour sa quête de créer du parfum parfait. Le récit Enfance L'histoire débute à Paris le 17 juillet 1738. Jean-Baptiste Grenouille, le héros du roman, naît au cimetière des Innocents, terrain qui fait aussi office de marché. Sa mère, poissonnière

avec un jeune homme. Elle raconte sa mésaventure: son mariage avait été organisé dans son dos, sa dispute avec Puits-Herbaults et sa fuite. Le père Etienne l'a conduite ici en attendant et elle aide la Tante Eulalie. Justus, lui, se sent coupable et mal depuis la venue et l'entente de l'histoire de Blanche. Il se semble coupable d'être un homme dans un monde de méchanceté. Chap 8. Le père Etienne ramène ses affaires à Blanche et a obtenu sa liberté contre des terres et de nombreuses autres choses

m’aide à chanter (« Les Bons chiens » 213). Doc compl : « Définition baudelairienne du Beau », C. Baudelaire, Fusées, dossier p.1 « Hymne à la beauté », C. Baudelaire, Fleurs du Mal, « Spleen et Idéal », dossier p.2 « Projet d’épilogue », C. Baudelaire, Reliquat des Fleurs du Mal, dossier p.3 « La morale et l’art en procès », C. Baudelaire, « Notes et documents pour mon avocat », dossier p.4. 1. la destruction dans la revolte 1.A. La fin de

XIXe siècle Baudelaire C. : Tableaux parisiens (« Paysage », p 60), Les Fleurs du Mal (Spleen et idéal, Correspondances, p 8 + La vie antérieure, p 13, l’idéal, p 16, La géante, p 16-17), Parfum exotique, p 19, La chevelure, p19), Salon de 1859 « Le paysage », p 775-780 Hugo V. : Les Contemplations, Garnier, livre VI « ce que dit la bouche d’ombre », p 433- 457 Rimbaud A. : Les Illuminations (« Ornières », « Aube », « Fleurs » (Gallimard, p 172-182) Le Paysage fragmenté : de Proust à Bonnefoy

poétique enchantait les foules et se faisait acclamer, dit-il en me laissant voir des yeux rouges qui cachaient sa souffrance et sa douleur. Ah ! Qu’en des temps lointains, la vie était plus belle, plus merveilleuse que la plus resplendissante des fleurs qui orne ce paradis terrestre qui fit il y a bien longtemps mon bonheur et ma joie. Je me souviens encore du temps ou je respirais à plein la douce odeur de la nature et des quatre saisons qui faisaient envoler mon cœur vers d’autres cieux ô combien

qu’il faudrait opérer Chloé pour sa toux. Nicolas vient les chercher, et la jeune femme éclate en sanglots. Elle aurait, annonce Colin à son cuisinier, un nénuphar dans le poumon. Chloé doit passer quelques temps à la montagne, au beau milieu des fleurs, et sans boire. L’appartement du couple rétrécit encore, ce que constate Alise lors d’une visite. Nicolas lui-même a pris un coup de vieux. Chick dépense tout son argent dans des objets de Partre. Tout l’environnement se dégrade, repas, appartement…

toujours existé sous cette forme particulière qui conditionnée par des règles. C’est pourquoi, la poésie a obtenu un statut aussi noble : d’une part, elle n’est pas accessible à tous les publics contrairement à la prose, ce qui entraîne un certain mal-être chez les poètes, qui sont souvent incompris de leurs contemporains. Ensuite, la poésie est tout d’abord faite pour être déclamée, donc elle seule, exploite entièrement le langage, dans ses moindres sonorités, rythmes et figures de style, pour aboutir

décrit dès la première page du livre comme : « [un des] personnages les plus géniaux et les plus abominables de cette époque ». En effet, Jean-Baptiste Grenouille, possède trois caractéristiques : • Il est dépourvu de tout sentiment du bien et du mal. Il est habité par une âme limpide, vide de toute émotion. Il ne vit que par l'odeur, les phéromones, les arômes. Sans cette dimension, il ne serait rien. • Il n'a aucune odeur qui lui est propre, ce qui effraie les gens qui le rencontrent et le côtoient