étoile Errante

surgir de tout mon être un immense « cri » (voir annexe 1). Cet éclat de voix me réveil et j’ouvre alors les yeux. La lumière est là. Cet immense champs brille de toute sa verte couleur et me rappelle soudain que je n’étais seulement qu’une forme errante laissée à elle-même dans un tourbillon de mouvement. Je crois qu’une autre notion importante a été mentionné dans les quelques lignes précédentes : celle du « soi », car d’après Fernand Ouellette, l’essai est aussi une rencontre avec soi-même

et je suis allé dans la fraîcheur et le calme de la rue sombre, et il m'a laissé la crainte que cela pourrait être un devoir de la mine à suivre le rythme chaud avec patriotes en pleine débandade. Les étoiles étaient merveilleux. Il est une telle surprise tranquillisant à découvrir il ya des étoiles sur Londres. Jusqu'à ce que cette guerre, lorsque les illuminations des rues ont été aspergés, nous ne le savions. Il renforce sa foi pour découvrir les Pléiades sur Londres; il est faux de dire que leur

soleil, tantôt par la commodité d'une comète, il allait de globe en globe, lui et les siens, comme un oiseau voltige de branche en branche. Il parcourut la voie lactée en peu de temps, et je suis obligé d'avouer qu'il ne vit jamais à travers les étoiles dont elle est semée ce beau ciel empyrée que l'illustre vicaire Derham se vante d'avoir vu au bout de sa lunette. Ce n'est pas que je prétende que Monsieur Derham ait mal vu, à Dieu ne plaise! mais Micromégas était sur les lieux, c'est un bon observateur

expliquait l’importance d’une constellation comme la Petite Ourse pour se repérer en mer. Callimaque5 dans ses « Iambes » le dit même inventeur de la constellation de « la Petite Ourse » et il écrit : « Et du chariot il avait, dit-on, mesuré les petites étoiles dont se servent les Phéniciens pour naviguer ». Ce livre n’a peut être jamais existé, pourtant, il y a tout lieu de penser que Thalès consacra une part importante de ses réflexions à ce groupe d’étoiles proches du pôle. Ajoutons que certains affirment

romain (117-138 apr. J.-C.). Voici le poème le plus connu qu’il a composé. Petite âme Hadrien Animula vagula blandula, Hospes comesque corporis, Quae nunc abibis in loca, Pallidula, rigida, nudula, Nec, ut soles, dabis iocos. Petite âme, errante, caressante, Hôtesse et compagne du corps, Qui maintenant disparais dans des lieux, Livides, dénudés, figés, Tu ne pourras plus, selon ton habitude, T'abandonner à tes jeux. Pierre de RONSARD (1524-1585) est un des poètes français les plus

brillants (les étoiles) dont certains en mouvement (les planètes) qui nous paraissent tous être situés à la même distance de nous, distance par ailleurs impossible à estimer facilement. Nous n'avons pas la sensation de nous mouvoir nous-mêmes dans l'espace et l'idée d'une Terre fixe au centre de l'univers s'impose tout naturellement. Après réflexion, les choses ne sont pas si simples que cela. Tout d'abord nous devons comprendre pourquoi les étoiles et les planètes

blonde. De toutes les fenêtres brillaient des lumières: de presque toutes les maisons sortaient une délicieuse odeur, celle de l'oie, qu'on rôtissait pour le festin du soir: c'était la Saint-Sylvestre. Cela, oui, cela lui faisait arrêter ses pas errants.  Enfin, après avoir une dernière fois offert en vain son paquet d'allumettes, l'enfant aperçoit une encoignure entre deux maisons, dont l'une dépassait un peu l'autre. Harassée, elle s'y assied et s'y blottit, tirant à elle ses petits pieds: mais

grands mouvements des sapinaies  Où plusieurs vents plongent. Tout roule avec des mystères révoltants  De campagnes, d'anciens temps; De donjons visités, de parcs importants : C'est en ces bords qu'on entend  Les passions mortes des chevaliers errants: Mais que salubre est le vent ! Que le piéton regarde à ces clairevoies : Il ira plus courageux.  Soldats des forêts que le Seigneur envoie, Chers corbeaux délicieux ! Faites fuir d'ici le paysan matois, Qui trinque d'un moignon vieux. Rimbaud

Mon père est le Soleil du Jour Et c'est la Nuit ma mère. | Oh! viens, trésor ! Laisse ce monde Pour que tu sois la mienne; Je suis Hypérion, et toi, Toi, tu seras ma Reine !Oh viens, dans tes cheveux dorés Seront des étincelles, Et parmi les étoiles des cieux Tu surgiras plus belle."- "Ô ! tu es beau, comme dans les rêvesLes anges me hantaient...Mais sur la voie que tu me frayes Je ne viendrai jamais !Me brûle ton cruel amour,Je sens mes forces nulles,Tes yeux profonds me font souffrir,Et ton

qu'il dégage est universelle. De même l'avion, l'outil des lignes aériennes, mêle l’homme à tous les vieux problèmes. J’ai toujours, devant les yeux, l'image de ma première nuit de vol en Argentine, une nuit sombre où scintillaient seules, comme des étoiles, les rares lumières éparses dans la plaine. Chacune signalait, dans cet océan de ténèbres, le miracle d'une conscience. Dans ce foyer, on lisait, on réfléchissait, on poursuivait des confidences. Dans cet autre, peut-être, on cherchait à sonder l’espace