étude De Situation Sdf

adversaires Les organisations médicales humanitaires ont, en trente ans, pris une place considérable dans le secteur caritatif d'aide au tiers-monde. Soigner au quotidien les blessures et les traumatismes dans les pays en guerre ou confrontés à des situations d'urgence, ce projet est par venu à rencontrer à la fois un personnel médical susceptible de voul oir partir, et des donateurs, privés ou publics, disposés à le financer. La réussite de ce projet a bien sûr été rendue possible par « l'excel lence

divisée en compétitions, guerres et privations. On commence par les économistes du Brésil. L’IPEA (Institut de Recherche Économique Appliquée), institution liée au Ministère de la Planification du Gouvernement Fédéral, la pauvreté « se réfère à les situations de privation dont les individus ne parviennent pas à maintenir un niveau minime de vie, qui s’accorde avec les références socialement établies dans chaque contexte historique ». Dans cette perspective, c’est possible établir une mesure de paramètre

majorité des immigrés sont intégrés à la nation française ? Au contraire, le plus grand nombre vit en ghetto, en marge de la société. Premières victimes du chômage, ils sont aussi des exclus de notre culture, grossissant ainsi les rangs des pauvres, des SDF, voire des prostitués ou des délinquants... A qui la faute ? Aux politiques d’immigration menées depuis plusieurs décennies, qui négligent le bien commun, feignent d’ignorer l’importance du lien national et cèdent à la démagogie. Extrait du Permanences

Des gens vont parler de l’exclusion seulement quand on est dans l’étape finale et non dans le processus. Donc pour eux, c’est un état et non un processus. Clavel voit l’exclusion comme un processus d’enfermement. Il est plus facile de repère les situations d’exclusion que les exclus à proprement dit. Il y a 4 zones « non-étanches» : intégration, précarité, pauvreté, exclusion. Il parle de circuits d’enferment qui sont aussi des circuits d’assistance et donc les gens qui veulent aider ces individus

avec plusieurs personnes dans un bâtiment inhabité en profitant de la loi de l’abbé Pierre qui autorise à le faire, cela ne t’empêche pas d’avoir un travail mais tu peux focaliser l’argent que tu gagnes dans d’autres projets, qui aident les personnes SDF et sans emplois, par exemple…. Si vous êtes plusieurs, créer des délires artistiques incroyables !ALEXANDRE : D’accord… Donc le vortex vient également mettre la lumière sur l’absurdité de notre monde, de la condition humaine. Ce que je ne comprends

du collectif, du vivre-ensemble, terme parfois galvaudé bien qu’il n’implique aucunement l’absence de conflits ou de tensions. Des lieux où des individus et des groupes sociaux sont en prise directe avec la réalité concrète, lesquels, selon les situations, s’approprient pleinement la ville, ou a contrario, la subissent, s’y sentant en quelque sorte assignés à résidence, tandis que d’autres se mobilisent pour faire émerger de nouveaux modèles, de nouvelles façons de concevoir et de vivre la ville

cette association travaille par projets : organisation de vide greniers, d’une fête de quartier annuelle, participation à la concertation sur le projet de rénovation des Halles, ou encore participation au montage d’un projet de bagagerie pour les SDF (sans domicile fixe) du quartier. Son fonctionnement démocratique passe par le fait que le bureau, constitué de 12 membres, n’a qu’un rôle d’exécution par rapport aux décisions des réunions plénières, qui se tiennent chaque mois ; que le bulletin interne

construction de l’identité et la négociation du statut. L’auteur parle d’abord des « fragiles », les individus éloignés du monde du travail mais peuvent croire en une réinsertion. Il parle d’un « apprentissage » de la disqualification. Cette situation peut être vécue comme angoissante (c’est la « fragilité intériorisée ») ou détournée par une attitude volontaire (« fragilité négociée »). Les services sociaux sont alors utilisés ponctuellement tout en étant mis à distance. On trouve également

Traitement des données et l’analyse……………………………………..24 1.1.2. Difficultés rencontrées ........................................................................................ 26 1.2 : Présentation de la ville de Niamey……………………………………………….28 1.2.1. La Situation géographique de la Communauté Urbaine de Niamey .......... 28 1.2.2. Les découpages territoriaux de la ville de Niamey........................................ 30 1.2.3. Les caractéristiques physiques de la CUN ...................................

II – Etude et analyse des problématiques et de leurs évolutions ……...……………………p8 a) Principe de l’exclusion sociale……………………………………………...…….p8b)