étude Du Poème L Ogre Et La Fée

Hugo : Alexandrin, rime plates Charles Legros : vers libres, rimes absentes Max Jacob : Poème en prose Queneau : vers libre, rime aléatoire Thèmes pas commun, les thèmes sont différents Le registre, le genre La poésie comique <-amusement Pour le commentaire, la problématique doit s’inspiré de la question et de la dissertation Faire une étude comparative Questions : Hugo : La chute du poème, comique de caractère, très maladroit, naïf Gros : Répétition, désacralisation, désacralise

sont les collaborateurs principaux ? Comment choisit-on un collaborateur ? o L’Encyclopédie contient une part non négligeable de planches. De quoi s’agit-il ? Comment justifier leur place dans cet ouvrage ? (Manuel p.470 à 473) 3. Etude du frontispice (Manuel p.454). Le travail sera fait ensemble. Séance 3 Mercredi 25 mars 1S4 + 1S2 Devoir en cours (1h). Rapporter le manuel de Lettres et langue. Le corrigé sera mis en ligne. Séance 4 Jeudi 26 mars 1S2 + 1S4 Révision des notions

: un récit fantastique ? 48-53 1. Poe, A. Breccia 2. Poe, H. Clarke 3. Poe, A. Breccia • Évaluation A. Breccia, Poe ActIvItéS et rechercheS hIStOIre deS ArtS 54-55 56 57-59 60-61 Gaudí, Façade de la casa Batló grammaire - lexique étuDe De la langue vers le Bac pro Interrogation 1 La fable, le conte, les récits imaginaires sont-ils réservés aux jeunes lecteurs ? Séquence A À quOI Sert lA cruAuté dAnS leS récItS ImAgInAIreS ? pages 12 à 17 du manuel Introduction

Résumé-analyse Quand on découvre Gargantua, on peut se trouver déconcertés par ces géants qui boivent trop, qui répandent leurs fluides corporels. Mais on va voir que tous ces débordements ont en fait un sens caché… Vous connaissez l’Ogre des contes de fée. Personnage effrayant, destructeur : il dévore les enfants ; du côté de la négativité, c’est une figure mortifère. Hé bien Gargantua est exactement l’inverse : son gigantisme est un prodige… Tout est générosité chez lui — sa gorge est déployée pour

la vidéo) Quand on découvre Gargantua, on peut se trouver déconcertés par ces géants qui boivent trop, qui répandent leurs fluides corporels. Mais on va voir que tous ces débordements ont en fait un sens caché… Vous connaissez l’Ogre des contes de fée. Personnage effrayant, destructeur : il dévore les enfants ; du côté de la négativité, c’est une figure mortifère. Hé bien Gargantua est exactement l’inverse : son gigantisme est un prodige… Tout est générosité chez lui — sa gorge est déployée pour

objections. 2.1.2) Ceux qui y sont favorables. 2.2) Le B.O. Hors-série du 19 juin 2008. 2.2.1) La maîtrise de la langue. 2.2.2) Le socle commun des compétences. 2.2.3) Les programmes de l’école primaire. Des contes adaptés au théâtre. 3) Étude d' œuvres. 3.1) Le Petit Chaperon Uf, de Jean-claude Grumberg. 3.1.1) Présentation de la pièce. 3.1.2) Les thèmes abordés dans la pièce. 3.1.3) La mise en scène. 3.1.4) L'écriture de Grumberg. 3.2) La Vraie fiancée, d'Olivier Py. 3.2.1)

Iconographie PARTIE I Textes Chapitre 1 La comédie et la tragédie classiques Séquence 1 La comédie classique et ses précurseurs Le poète d’Hadrumetum (mosaïque) Molière, L’École des femmes D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 Aristophane, Lysistrata ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE Molière, L’École des femmes TEXTE 2 Molière, Le Misanthrope D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 Ménandre, Le Bourru TEXTE 3 Molière, L’Avare D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 Plaute, L’Aululaire ANALYSE D’IMAGE TEXTE 1 HISTOIRE DES ARTS Deux mises en

morale de la plupart de ces histoire est que la ruse, l’intelligence, l’esprit d’à propos ont toujours le dessus sur la force brutale. C’est une philosophie bien intéressante et qui est exploitée par le Judo. Bibliographie : A. AARNE, Tales of Stupid Ogre. Les rapports ambivalents avec les humains. Ces rapports sont souvent négatifs de part et d’autres. Les hommes se trouvent remplis de terreur devants ces êtres monstrueusement grands et forts au mauvais caractère tandis que les géants n’aiment

je ne l’avais pas encore vue ; je ne la connaissais pas du tout. Je ne savais même pas qu’elle existât. Mais je savais très bien ce que c’est qu’une marraine : je l’avais lu dans les contes et vu dans les images ; je savais qu’une marraine est une fée. Je me laissai peigner et savonner tant qu’il plut à ma chère maman. Je songeais à ma marraine avec une extrême curiosité de la connaître. Mais, bien que grand questionneur d’ordinaire, je ne demandai rien de tout ce que je brûlais de savoir.

langue. Dans le présent travail, nous voudrions prouver cette thèse ; nous essayerons d’analyser les stéréotypes les plus répandus dans les contes merveilleux, pour retrouver ensuite leurs manifestations dans la langue courante contemporaine. Notre étude sera basée sur la typologie de Jean-Louis Dufays concernant les fonctions des stéréotypes ; elle semble assez ample, permettant d’englober toutes sortes d’énoncés. Nous nous concentrerons avant tout sur les contes qui n’ont pas d’auteur concret, ils