évolution De La Délinquance Juvénile

Une justice pénale et civile spécifique La justice des mineurs concerne les mineurs en danger (dans le cadre de la justice civile au titre de l’article 375 du code civil) ainsi que les mineurs ayant commis des actes de délinquance (dans le cadre de la justice pénale, au titre de l’ordonnance du 2 février 1945 relative à l’enfance délinquante). Dans ces deux domaines, c’est le juge des enfants qui est compétent pour prendre la décision judiciaire. Des chiffres conséquents Chaque année, près de

mineurs, confrontée à l’augmentation du sentiment d’insécurité et à la progression des atteintes aux biens, a connu une série d’inflexions à partir des années quatre-vingt-dix. En 2007 le gouvernement promulgue La loi relative à la prévention de la délinquance. A ce jour on constate un éclatement des politiques jeunesses entre plusieurs secteurs (secteur temps libre, secteurs sport, éducation, culture, santé, justice, emploi). Mais la jeunesse est rarement envisagée de façon globale. La récente mise

: Dans le cadre de son programme « Enfance sans barreau », le Bureau International Catholique de l’enfance, « BICE » en sigle, met l’accent sur la justice restaurative. Par ce programme, il entend développer et promouvoir des systèmes de justice juvénile et des pratiques restauratives conformes aux normes nationales, régionales et internationales dans les neuf pays d’intervention, à savoir : le Mali, le Togo, la Cote d’Ivoire, la République Démocratique du Congo, le Pérou, l’Équateur, le Guatemala

annuel proche de 5%. A ce rythme, la croissance urbaine est parfois supérieure à la croissance naturelle de la population (Antoine et al, 1995 :5). Le Cameroun ne fait pas exception à cette règle car, le taux d’urbanisation y connaît aussi une évolution assez remarquable. A titre d’illustration, il a été de 45% il y a dix ans, et atteindra 67% d’ici 2025 (Gendreau, 1996 :79). Alors qu’on a le plus souvent assigné à l’urbanisation le statut d’un facteur de développement, ce processus prend corps

aux droits civils et politiques 2. Ensemble de règles minima pour le traitement des détenus (1977) 3. Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant 4. Principes directeurs des Nations Unies pour la prévention de la délinquance juvénile : "Principes directeurs de Riyad" (1990) 5. Les règles minima des Nations Unies concernant l’administration de la justice pour mineurs: "Règles de Beijing" (1985) 6. Règles des Nations Unies pour la protection des mineurs

peut arriver à chasser son enfant, désolé par l’ampleur des disputes survenues entre eux. b- Fléaux sociaux L’enfant se laisse aller dans les plus sombres tendances de l’adolescence telles que la drogue, les rapports sexuels précoces, la délinquance juvénile (braquages, viols, agressions, meurtres…), la prostitution, pouvant même arriver jusqu’à la fugue, le reniement de la famille, et d’autres erreurs faute du manque de communication (accouchement précoce de Mina, haine de la religion catholique

complexité de son fonctionnement, son évolution grandissante, son impact sur le jeune, les parents et professeurs, mais aussi l’impact qu’il a sur l’opinion publique, la société actuelle et la société en devenir. Pourtant ce n’est pas un phénomène nouveau, le décrochage scolaire existe depuis de nombreuses années, mais en Belgique ce n’est que dans les années 1990, suite aux émeutes de Forest et Saint Gilles en 1991, que le sujet de la délinquance juvénile fait sa réapparition au sein des discours

traduisent une inquiétude qui va grandir durant tout l’entre-deux-guerres : l’ordre économique. A. Les lois de circonstances a. un nouveau champ pénal, la délinquance astucieuse Ainsi la loi de février 1918 sur le ravitaillement est tolérante avec le marché noir mais du coup la criminalité va augmenter. C’est le temps du développement de la délinquance « astucieuse » (le recel) et de multiples lois vont être promulguées afin que le marché noir (ventes pas déclarées et donc pas imposées) relève du pénal

à l’égard des mineurs : Obligation de signalement de justice pour les enfants maltraités / Pose les missions du CG). Depuis 2000, le ministre en charge de la Famille constate :  Repérage défaillant/maltraitant (+ violences institutionnelles)  Evolution de la société (augmentation des enfants en risque de danger)  Articulation difficile des partenaires  Augmentation de la judiciarisation (les tribunaux sont très engorgés par rapport aux situations de protection de l’enfance)  Actions inovantes

citer notamment le mot « meute » à connotation plutôt négative, associé aux « honnêtes gens » ou « braves gens » à connotation plutôt positive aux lignes 19 et 22. 3) Sélection d’idées dans un document Le rapport éducation-répression La délinquance des adolescents est un des indicateurs de l’évolution de notre société. Depuis le XIXème siècle, les politiques mises en place se succèdent, exprimant une conception et des avis souvent divergents : les moyens de lutte contre ce phénomène furent