évolution Entre Le Xième Et Le Xiiième Siecle

la fin de la republique...................................10 §3 - L’état du droit des debuts de l’empire à la codification justinienne..............12 PARTIE I : L’ANCIEN DROIT (VEME-XVIIIEME SIECLES) ..................................................16 CHAPITRE 1 : LE DROIT DU HAUT MOYEN-AGE (VEME-XEME SIECLES) ...........................17 Section I. De la chute de rome aux Merovingiens : droit romain, droits germaniques ...........................................................................

mettre en scène un individu citoyen dans sa pleine capacité à décider pour lui-même. Le peuple se gouverne lui-même à l’abri de l'influence du passé. La démocratie contribue à ce phénomène. Ce constat, c'est un auteur important qui le fait au XIXème siècle. Il s'intéresse plus particulièrement à l'Amérique. « De la démocratie en Amérique » est un ouvrage dans lequel il jette une lumière sur cette culture démocratique (américanisation des mœurs). TOCQUEVILLE. « La démocratie fait oublier à l'Homme ses

pluralisme du droit : droit coutumier, droits savants au premier rang desquels se rangent droit romain médiéval et droit canonique, et enfin droit royal. Cette tendance diversifiée des sources du droit se trouve cependant atténuée, à compter du XVIème siècle où le droit royal tend à développer une technique législative unitaire. Dans ce sens, mais avec une intention résolument rationaliste, la Révolution française marque une rupture plus nette encore, en imposant un nouveau système juridique fondé principalement

Seuil, 2006, 683p. Dominique Iogna-Prat est directeur de recherches au CNRS. Il consacre une grande partie de ses travaux au monde clunisien, mais il s’intéresse surtout aux modèles idéologiques que la société a produits, en particulier aux XIe-XIIe siècles. Les premiers travaux qu’il a réalisés dans cette perspective ont porté notamment sur le dossier des Vies composées en l’honneur de saint Maïeul, abbé de Cluny de 954 à 994. Il a montré que ces Vies constituaient une forme de méditation sur la place

Introduction C’est au temps des grands Carolingiens, vers la fin du IXème et au début du Xème siècle, que la seigneurie se dévoile grâce aux inventaires des droits seigneuriaux. C’est cette seigneurie qui représente véritablement les premières manifestations de la féodalité. Bien que féodalité et seigneurie ne soit pas synonymes, cette dernière, constituée d’une noblesse tirant sa force de la possession de seigneurie, représente la première hiérarchisation de la terre qui aboutira plus tard aux

impératur. L’antiquité se situe après la chute de Rome vers 476 avant JC et l’antiquité tardive a lieu de 330 avant JC jusqu’en 565 après JC à la mort de justinien, empereur romain. Pour certains historiens l’antiquité tardive à duré jusqu’au 10e siècle. Pendant cette période, on rencontre un phénomène d’acculturation (culture mixte). Ce phénomène se voit par exemple dans le droit romain qui est la base de notre droit aujourd’hui et dans le droit musulman qui repose sur le droit romain. ( L’empire

dévouement personnel. En échange du dévouement le souverain accorde aux vassaux un bénéfice. La pratique des bénéfices va s'étendre et à partir du IXème siècle le vassal obtiendra des prérogatives de puissance publique, ce qui lui conférera des pouvoirs de commandement, des pouvoirs de justice sur les habitants du territoire concédé. A la fin du XIème siècle on passera d'une féodalité de bénéfice à une féodalité de fief (en échange de la féodalité des vassaux les souverains concèdent une partie du territoire)

1 millénaire : du Veme au Xveme siècle. Le Veme siècle correspondant à la fin de l'empire romain d'Occident et le Xveme à la renaissance. Depuis le XVIeme siècle, on fixe la fin de l'antiquité en 476 (car le dernier empereur romain d'occident (Romulus Augustule) est déchu. Fin en 1453 : chute de Constantinople. Fin de l'empire Romain d'Orient (E. Byzantin) On trouve aussi la date de 1492 (Christophe Colomb découvre l'Amérique). Point commun entre ces siècle : Liés aux humanistes

L’air de la ville rend libre » ou comment passer d’une condition servile à une condition franche grâce à la ville de l’Europe médiévale des XI-XIIIème siècles OU Le rôle de la ville médiévale dans la marche vers une plus grande liberté individuelle et collective en Europe entre l’an mil et le XIIIème siècle OU La ville médiévale européenne, un lieu de liberté ? INTRODUCTION : 1) Phrase d’accroche : Lorsque de nos jours on fait

la seule langue “littéraire” en France. C’est la langue des hommes de l’Eglise, des hommes cultivés, des “clercs”. Dés le Vè siècle, à partir du latin reproduit et déformé par les Gaulois, enrichi des apports germaniques, naît un langage mixte, appelé le “roman”, qui deviendra l’ancien français du XIème au XIVème s., puis le moyen français aux XIVème et XVème siècles. En 813, au Concile de Tours, les évêques recommandent aux clercs de ne plus prêcher en latin, mais en langue romane pour mieux