êtres Vivants Sans Entrailles

priorité du souci de protection de l’être humain contre tout ce qui la menace, y compris les progrès fulgurant de la science. La primauté de l’être humain cela veut d’abord et seulement les êtres humains. Ce qui caractérise la personne c’est d’être titulaire de droit, à la différence des choses, y compris les êtres sensibles (animaux). Le statut juridique des animaux est très discuté aujourd’hui. Le CC les considère comme des biens. Mais le législateur tire un certain nb de conséquence de leurs qualités

semble passer, transcrivant l’impression du poète Joachim du Bellay et de Guillaume de Lorris. Certains encore, tels que Guillaume Apollinaire ou le chanteur Léo Ferré nous parlent de la mémoire qui s’estompe irrémédiablement, emportant autant les êtres chéris que de précieux souvenirs. Le poète maudit Charles Baudelaire et Corneille, quant à eux, préfèrent décrire les effets dévastateurs du temps sur la chair et les os, tandis que Raymond Queneau semble défier la mort elle-même, et la rejette. Entrer

visible dès le premier chapitre, et à la perception merveilleuse ou magique de la réalité de la mère aussi très attachée à la nature, ce roman se rapproche également du genre du conte de fée. Nous rencontrons de beaux exemples par les descriptions des êtres libres, les chevaux à la ferme du père ou l’arbre qui embrasse la mère dans le parc ou encore lorsque la mère enterre symboliquement le passé utilisant des objets qu’elle aimait, sans pour autant négliger ou oublier la premier partie de sa vie. Elle

  Suivrons-nous le chasseur sur les monts escarpés ?  La biche le regarde ; elle pleure et supplie ;  Sa bruyère l'attend ; ses faons sont nouveau-nés ;  Il se baisse, il l'égorge, il jette à la curée  Sur les chiens en sueur son coeur encor vivant.  Peindrons-nous une vierge à la joue empourprée,  S'en allant à la messe, un page la suivant,  Et d'un regard distrait, à côté de sa mère,  Sur sa lèvre entr'ouverte oubliant sa prière ? Elle écoute en tremblant, dans l'écho du pilier, Résonner

dans le récit : lecture du chapitre I 4 2. L’action et la composition du récit 9 3. À la recherche d’Arémis Slake 12 4. Un nouveau Robinson 17 5. Quand deux destins se croisent : Slake et Willis Jo 20 6. Les bons et les méchants 25 7. Êtres et objets symboliques 27 8. La ville dans le roman 31 9. Le parcours de Slake 35 LE ROBINSON DU MÉTRO 10. Travaux et prolongements 38 Roman poche Bibliographie 44 Chaque étude comporte : Une fiche professeur : objectifs, contenus et pré-requis

du programme, réside dans le statut conféré à la modération : sa nature (conventionnelle et non naturelle), sa fonction cachée (promouvoir l’égalité, effacer les différences et non valoir par elle-même), ses résultats suspects (brimer et brider les êtres d’exception, flatter la masse des gens ordinaires, au lieu d’améliorer l’homme – ce qui est une des fins d’une morale). Le moraliste semble prendre à parti la morale ordinaire, dont il dénonce l’hypocrisie puisqu’elle camoufle sous le mot vénérable

des signes de la divinité ; et ils ne les trouvaient que dans le merveilleux et le ridicule. C’était à la vérité une chose très-extravagante de faire dé- pendre le salut de la république de l’appétit sacré d’un poulet et de la disposition des entrailles des victimes ; mais ceux qui introduisirent ces cérémonies en connaissaient bien le fort et le faible, et ce ne fut que par de bonnes raisons qu’ils péchèrent contre la raison même 12 . Si ce culte avait été plus raisonnable, les gens d’esprit

lieux ont une signification, souvent comique et grivoise : - « Bardamu » (fait sur « barda », équipement du soldat mais aussi poids de l'Histoire sous lequel il faut encore trouver moyen de se mouvoir) - « le général des Entrayes » (fait sur « entrailles ») - « le commandant Pinçon » (« pinçon » : marque qui reste sur la peau qui a été pincée) - « le lieutenant de Sainte-Engeance » (« engeance » : catégorie de personns méprisables ou détestables) - « Madame Hérote » (fait sur « érotique »?)

PLATON PROTAGORAS. — Il y a eu un temps où les dieux existaient seuls, et où il n'y avait encore aucun être mortel. Lorsque le temps destiné à la création de ces derniers fut venu, les dieux les formèrent dans les entrailles de la terre, en mêlant ensemble la terre et le feu et les deux autres éléments qui entrent dans la composition de ces deux premiers éléments. Mais avant que de les laisser paraitre à la lumière, ils ordonnèrent à Prométhée et à Épiméthée de les orner et de leur distribuer toutes

allusion à l'incident qui a eu lieu entre Grandmorin et Louisette, la rumeur accusant le président de l'avoir violée, et d'avoir ainsi déclenché la fièvre qui entraîna la mort de la jeune fille, survenue toutefois chez Cabuche, un homme très fruste, vivant seul dans la forêt, avec lequel elle était très liée. Madame Bonnehon admet que son frère l'a peut-être taquinée, mais sans plus. Le juge d’instruction interroge ensuite les Roubaud et Lantier. Il cherche à obtenir des précisions sur l'aspect physique