Double à la simple ignorance
(p.27) : Donc, quand tu fais malgré toi des réponses contradictoires sur une chose, c’est une marque infaillible que tu ne la connais pas.
Selon moi, Socrate veut dire que si tu ne connais pas la réponse, mais que tu crois la connaître, alors tu vas dire des choses qui te semblent claire, mais qu’en réalité, ce n’est pas fiable comme réponse. Tu penses que ce que tu dis est vrai, mais si l’on pousse la question de plus en plus, alors tes réponses seront de plus en plus basées sur des trucs qui ne tiennent pas debout.
On peut voir que Socrate savait très bien où il se dirigeait et ce qu’il voulait le plus était de faire remarquer cette ignorance à Alcibiade. Il n’e faisait pas sa pour rire de lui, mais bien pour qu’il comprenne qu’il ne comprenait pas. Il voulait tout simplement le sortir de sa double ignorance. C’est pourquoi toute au long de l’ouvrage, Alcibiade dit qu’il croyait savoir, mais en réalité, il ne savait pas.

Connais-toi toi-même
(p38) : Allons, mon bienheureux Alcibiade, suis mes conseils et crois-en l’inscription de Delphes : Connais-toi toi-même, et sache que nos rivaux sont ceux-là et non ceux que tu penses et que, pour les surpasser, nous n’avons pas d’autre moyen que l’application et le savoir.
Selon moi, je crois que le sens de cette phrase signifie que les ennemis, les rivaux, sont à l’intérieur de nous et que ce n’est quand apprenait à se connaître soi-même qu’il est possible de se débarrasser de ceux-ci. Donc, nous sommes notre propre rival et le danger est en réalité, nous et que seulement en se remettant en question, pour mieux se connaitre, nous pourrions s’en défaire.
Du début jusqu’à la fin de l’ouvrage, Socrate essai du mieux qu’il peut de montrer à Alcibiade comment il est réellement pour que ces idées soit plus claire. Il lui dit comment il réagirait sur un évènement et Alcibiade n’a d’autre choix que d’écouter, car c’est la vérité et cela lui permet d’élargir ces horizons en écoutant ce que