Alfred marshall

527 mots 3 pages
L’approche néoclassique, courant empreint du XXe siècle, fut en partit répandu, suite à la « révolution marginaliste », par l’économiste dégourdi : Alfred Marshall. Laborieux et ingénieux, il rédigea néanmoins qu’une seule œuvre : Les principes de l’économie. Connaissant un succès fulgurant, cet ouvrage devint le manuel de référence pour d’innombrables économistes chevronnés, adhérant au principe de cette théorie. Il représenta, ainsi, pour plusieurs, un énorme ascendant ; en particulier pour ses étudiants de l’école d’économie de Cambridge. De plus, il ne faut point oublier son apport inestimable dans le domaine de l’éducation, puisqu’il permit, en 1903, de séparer l’enseignement de l’économie de celui de la philosophie morale. Nous pouvons donc dire qu’il donna à l’économie « ses lettres de créances disciplinaires en Angleterre ».

Substituant l’appellation d’économie politique par science économique, Alfred Marshall concéda à la biologie une place importante dans l’économie, contrairement à plusieurs économistes, qui eux, privilégièrent l’analogie avec la physique. Inspiré par Charles Darwin, il établit qu’à l’image de l’homme, « les entreprises, les économies et les sociétés naissent, grandissent, dépérissent et meurent ». Ceci explique donc la notion introduite par Marshall concernant le temps.

À l’inverse de Walras, Alfred Marshall accorde un intérêt considérable aux conditions d’un équilibre partiel sur un marché, relié davantage à la microéconomie, en établissant que « toutes choses étant égales par ailleurs ». Il va donc se consacrer à la présentation canonique de l’équilibre entre l’offre et la demande, au moyen de courbes, qu’il considère plus représentative de la réalité. De plus, à l’instar de Léon Walras, il va accorder une place aux mathématiques dans l’économie, cependant, toujours en contradiction avec ce dernier, il va émettre des réserves quant à leurs usages. Nous pouvons donc inévitablement conclure que les approches marshalliennes et

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