Comment nous déterminons
De nos jours, tous citoyens aspirent à une quête : le bonheur. Mais, comment pouvons-nous déterminer et assurer le bonheur ? Nombreux sont les philosophes à avoir travaillé sur le sujet. Cependant vers la fin du 18ème, les économistes se sont eux aussi penché sur le sujet. C’est ainsi grâce à l’aide de certains documents, d’une part ceux rédigés par Julien Bonnet : « Quand les économistes s’intéressent au bonheur », « Qu’est ce qui nous rend heureux ? », »l’argent ne fait pas toujours le bonheur », « La croissance contribue-t’-elle au bien-être » ainsi que « Chacun a besoin de se comparer aux autres » et d’autre part, « De Londres à Pékin l’idée fait son chemin » écrit par la journaliste Rana Foroohar, que je vais tenter de comprendre le sujet.
Tout d’abord, les économistes tentent à dire que le bonheur ne passe pas forcément par la consommation de biens matériels ni par le fait d’avoir beaucoup d’argent. Certes, il est prouvé que au plus on est pauvre au plus l’argent contribue au bonheur. Mais, il est aussi démontré que lorsque l’on atteint un certain seuil de richesse, l’argent ne contribue plus au bonheur. En effet, d’après l’économiste R. Easterlin, au plus nous possédons de l’argent au plus vite nous assouvissons nos envies donc au plus nous nous lassons. Par ailleurs, une étude nous a montré que les citoyens vivant dans les pays considérés comme pauvre, par exemple la Colombie ou le Vietnam, ont un niveau de bonheur aussi élevé que les habitants des pays développés, comme l’Espagne ou les Etats-Unis. D’où l’argent ne fait pas le bonheur mais y contribue jusqu’à un certain seuil (cette théorie est appelé ‘ le tapis roulant hédoniste). De plus, suite