Analyse 5 : Ce fut en vain, Le Rouge et le Noir, 1830Intro :Stendhal fait partie des auteurs majeur de la littérature française du 19ème siècle. Ces romans à la fois romantique et réaliste, reflète ses goûts : Napoléon, l’Italie, la sensibilité individuelle et le caractère énergique de ces personnages jetés dans une époque, une société qui cherche à les contraindre, à les broyer. Dans le roman Le rouge et le noir, sous-titré « Chronique de 1830 », qui souligne le caractère réaliste et l’actualité …afficher plus de contenu…

L’emploie du regard omniscient permet au lecteurs dans l’intériorité du personnage, de connaître son état physique : les larmes = manifestation physique de la souffrance, mais ici morale, on relève le comparatif d’infériorité « Descend animal que je te parle » : phrase injonctive à valeur d’ordre qui marque une fois l’autorité du père et qui marque également la revalorisation du fils avec le terme « animal », on peut parler donc de gradation dans l’attitude méprisante du père envers son fils on passe de « paresseux » à « animal », l’intention du père de lui parler n’est pas vraiment significative, pas habituelle.Nous avons bien dans ces quelques lignes la description d’un monde brutal le père s’impose par la force, les coups et malgré cela Julien transgresse les règles paternelles, il cherche ainsi à s’affranchir des valeurs familiales et sociales de son milieu.III) La possibilité d’une destinéDans ce passage, motif du bruit qui amplifie entre le décalage entre le père et le fils, on …afficher plus de contenu…

« En passant » jusqu’à la fin, lien qui est visée entre l’objet libre et Julien, lien affectif. On relève l’adverbe « tristement » modifié l’intensité du verbe, le verbe « affectionner » qui évoque de nouveau la sensibilité de Julien, on relève également le superlatif « le plus » ici qui évoque un livre qui est sacrifié, qui est son seul compagnon. Il retrace la vie de Napoléon, qu’il admire : c’est son