Descartes et plusieurs autres révolutionnaires au niveau scientifique ont tous rejeté le géocentrisme qui donne un certain sens sacré à l’homme et la terre en les plaçant au centre de l’univers pour laisser place à l’héliocentrisme. Descartes souhaite donc définir le plus exactement possible l’homme et utilise donc les mathématiques, science comportant des règles strictes et toujours démontrables. C’est ainsi qu’il arrive avec une vérité inébranlable, soit, le premier principe de la philosophie : Je pense, donc je suis. J’expliquerai ce principe en profondeur ci-dessous.
Après avoir rejeté tout ce qui lui semblait faux, René Descartes résonne, grâce à sa méthode cartésienne mené par quatre règles : l’évidence, l’analyse, la synthèse et le dénombrement, pour trouver une vérité incontestée de tous soit le cogito. En doutant de tout, il se met à réfléchir à propos de lui et en viens donc avec la conclusion ; si je doute, c’est que je suis en train de penser, et si je pense, c’est que j’existe. C’est en doutant de tout pour sa recherche de vérité que ses réflexions deviennent une certitude. Cela est vrai si on établit premièrement que l’homme ne vit que grâce à ses pensées, source première de questionnement et d’évolution. Bien sûr, toute chose qui pense se doit d’avoir un esprit qui le guide.
René Descartes établit donc le premier principe de philosophie dans son discours de la méthode après avoir complètement retourné la question sur lui alors qu’il recherchait la définition de l’homme et du monde exact. Ainsi, il explique grâce à ce cogito que peu importe la forme d’une chose matérielle, il pourra la trouver avec sa raison et explique que les connaissances toutes entières peuvent être revues à neuf.