Pour commencer, Hervé Jodoin, ne respecte pas les normes de sociabilité. Il est indifférent avec le monde qui l’entoure. «Esquissant une moue d’indifférence, je lui déclarai que les livres brûlaient moins longtemps que le charbon, mais que, faute d’autre combustible, il m’arrivait de m’en servir.» p.29 Dans cette citation, Hervé répond à la question qu’on lui a demandée avec aucun plaisir. Il se sent toujours obligé de répondre aux questions qu’on lui pose. Il ne donne jamais son opinion et reste vague car il ne voit pas l’importance de répondre. Il ne se sent pas obligé de répondre précisément. Pour lui, répondre aux questions est une perte totale de temps, c’est inutile. Il tente toujours de finir les conversations le plus vite possible. Lorsqu’on lui pose une question, il répond en disant ce que la personne veut entendre. De cette façon, il évite de se chicaner ou de s’obstiner avec la personne ce qui fait son affaire parce qu’il n’aime pas donner son avis ou tout simplement parler longtemps avec quelqu’un. Par la suite, son ton de voix est plutôt bête et indifférent. « À ces dégoûtants questionneurs, malgré l’effort plutôt vigoureux que l’opération exige, je serais tenté de mettre mon pied au cul […] je dois me contenter de leur passer les livres les moins susceptibles de les intéresser.» p.29 Au magasin de Léon Chicoine, lorsque Hervé a des clients, ça le dérange de devoir répondre à leurs questions et de les aider. Il est bête avec tous ses clients et indifférent à leurs demandes. Il leur donne des livres qui sont à l’opposé de ce qu’ils désirent et il éprouve un certain plaisir à le faire. Il est toujours ou presque désagréable avec le monde pour qu’ils partent au plus vite. «Rose est froissée. Je m’en fous.»p.91 Jodoin est même indifférent avec les gens qui l’aiment. Il n’affiche jamais ses sentiments et répond avec indifférence avec Rose même s’il est proche d’elle et qu’ils ont une relation ensemble. Bref, ça ne dérange pas Hervé que ses clients soient