Architecture chinoise
L’architecture chinoise est en pleine mutation depuis les années 1980. Cette architecture a conservé un caractère absolument original. Les villes de chine ont été construite toute égal : presque toutes les maisons sont basses, à un ou deux étages, en bois, en briques ou en torchis. Les grandes charpentes sont faites de poutres arrondies qui soutiennent des toits en pente, dans les coins sont relevés en cornes. On remarque en même temps, l’uniformité du style et des matériaux employés. Parmi les monuments les plus connus on mentionnera que la Grande Muraille et quelques grands temples, particulièrement celui du Ciel, à Pékin, et quelques beaux ponts de marbre, à Pékin, au palais d'été, près de Sou-tcheou, etc. Ces ponts ont quelquefois une grande hardiesse et les arches affectent souvent la forme d'un cercle parfait. Les pagodes (ta) à cinq, sept, neuf étages, sont nombreuses dans le pays; l'une, la plus célèbre, était la fameuse tour de porcelaine de Nankin, construite sous les Ming, et détruite dans les luttes pour la reprise par les Impériaux de cette capitale qui était au pouvoir des rebelles Taï-ping (1864).
Les temples sont souvent remarquables par leur ornementation, mais ils n'ont jamais le caractère grandiose des édifices religieux du Proche et Moyen-Orient et de l'Occident. On emploie assez souvent le granit, pour la construction des ponts, pour daller les routes, pour ces sortes de portes ou d'arcs de triomphe, en l'honneur des veuves méritantes, des fils dévoués, etc. A l'époque impériale, les lois qui régissaient les constructions étaient consignées dans un petit ouvrage intitulé : le Charpentier de village, et dans un grand recueil en 50 volumes, attribué à l'empereur Yong-Thing.
Porcelaine Tower, Nankin
La maison chinoise
L'architecture chinoise traditionnelle, quel que soit le type de monument auquel elle appartient, présente un caractère de simplicité, de provisoire. Les maisons et les monuments ont conservé la forme