Rédaction de français

Suite du texte «la photographie» :

|Note : |Observations : |

…Comment ne pas la reconnaître et me souvenir de tout sans trembler ? J’avais eu une brève liaison avec elle, l’hiver dernier ; au printemps, excédé je rompais, emporté par une brutalité qui ne me ressemblait pas et, dès cet instant, avec une froideur sauvage, elle s’était juré d’avoir un jour ma peau. Me rappelant de ce fait je me précipita immédiatement, près de la photo du lac au milieu de belles et hautes montagnes verdoyantes je commençais à retirer les morceaux de papiers adhésifs qui se situaient au quatre coins de la photo. Une fois ces derniers enlevés je commençais à enrouler la photo pour ne pas prendre le risque de l’abimer en la pliant. Mais tout à coup, la femme étant arrivée a la berge ou le bord de la photo, elle sortit sa main gracieuse mais elle m’attrapa le bras si fermement que je crus qu’elle me casserait les os du bras. Sa puissance étant si forte je ne pus point résister. Elle m’entraina dans son monde et me retourna pour de façon a voir le monde qui m’entourait. Je regardai attentivement de façon à ne louper aucun détails essentiels, enfin je trouvai l’élément qu’elle voulait me montrer. C’était une lettre en dessous de mon lit qui expliquait le fait de ma séparation avec elle, n’ayant pas eu le courage de la lui donner je ne pus que la mettre sous mon lit en pensant qu’un je serai près à assumer mes actes. Je me retournai vers elle pour lui expliquer mes raisons de ce non acte de bravoure. Quand je lui eu finit de lui expliquer elle pointa son fusil sur moi et m’avait dit : je vais enfin me venger. Elle appuya sur la gâchette et me tira dans la tempe. Je m’étalai par terre rendant le lac turquoise en un rouge sanglant. Je me réveillais en sursaut dans mon lit, en sueur, le cœur en sur tension. Je bondis