« Si vous désirez la sympathie des masses » clamait Adolf Hitler, « vous devez leur dire les choses les plus stupides et les plus crues. »… Et c’est assurément ce que faisait le plus grand dictateur que l’Allemagne aie connu. Il avait compris la pensée du peuple et savait comment l’endoctriner. Il s’est d’ailleurs basé sur le passé pour construire l’avenir auquel il pensait. Cependant, il est aussi parfois important de se souvenir pour ne pas faire d’erreurs. Mais la connaissance du passé permet-elle d’éviter la répétition de la violence et des crimes ?

En effet, durant le début de la troisième décennie du XXème siècle, l’Allemagne subit une crise économique sans précédant du en particulier à leur défaite lors de la Grande Guerre. Il faut savoir qu’après ce conflit mondial, l’Allemagne fut contrainte de léguer des parties de son territoire aux pays gagnants, des payer une amende colossale et de ne plus posséder d’armés. L’Allemagne était humiliée. C’est alors qu’Hitler qui avait déjà manqué par une fois de faire un coup d’état, fut élu chancelier de l’Allemagne en 1933 avec le parti nazi. Ce dernier arriva en quelques années à mettre de son côté près de la moitié de l’Allemagne et à sortir cette dernière de la crise économique. Il éprouvait une haine considérable envers les juifs, les tsiganes, les noirs… les sous-hommes.

Par exemple, afin que le peuple éprouve la même haine que lui envers les juifs et ceux qu’il considérait comme des sous-hommes, Adolf Hitler n’hésitait pas à lancer des propos allant contre ces derniers. En effet, il endoctrinait la population dès son plus jeune âge. Déjà dans les écoles maternelles et primaires, il faisait passer les juifs pour les « méchants » en publiant des caricatures qui annonçaient que tout irait mieux maintenant que les juifs étaient partis. Il créait des problèmes d’arithmétiques où il demandait de calculer ce que cela coûterait en moins à l’Etat si l’Allemagne était débarrassée les handicapés et des chômeurs. De