Bale 2

2800 mots 12 pages
INTRODUCTION

Les institutions financières en particulier les banques sont préoccupées par la gestion des risques dans leurs activités. Il s’agit pour ces institutions d’évaluer ces risques et d’essayer de les réduire. Il est dans l’intérêt propre de toute organisation de limiter les risques qu’elle prend afin d’assurer sa profitabilité et sa survie dans les scénarios les plus défavorables. De plus la communauté financière internationale est de plus en plus exigeante auprès des institutions financières qui en font partie. L’objectif est qu’elles soient capables à tout moment de faire face aux risques encourus, pour limiter sur le système global les conséquences d’éventuelles difficultés d’un acteur. La limite de risque de chaque institution dépend de sa puissance financière intrinsèque, représenté par ses fonds propres. Les fonds propres servent à garantir aux créanciers de l’entreprise, l’argent emprunté.

Depuis quelques années, les règles prudentielles obligent de plus en plus les banques et les institutions financières à mettre en place des processus de mesure de leur risque et d’ajustement de leurs fonds propres en fonction des indicateurs de risque. Un organisme émanant de la banque de règlements internationaux, poursuit des travaux pour faire progresser et standardiser les approches de gestion des risques dans les institutions financières. Un premier accord a été signé en 1988.

L’accord de 1988 fixait pour les banques à vocation internationale des normes de fonds propres qui étaient fondées sur un nombre limité de catégories de risque. Il avait deux objectifs : premièrement, promouvoir des conditions de concurrence loyale d’un pays à l’autre pour les banques à vocation internationale et, deuxièmement, renforcer l’assise financière de ces banques.

Aujourd’hui, les banques « titrisent » régulièrement leurs portefeuilles de prêts en vendant le risque de crédit sur le marché secondaire plutôt que de le conserver sous la forme de prêts dans leur

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