Baudelaire rêve parisien
« Rêve Parisien»
Milieu du XIXème siècles. Son œuvre principale est « Les fleurs du mal » de 1857.
Le courant littéraire: le romantisme (1800-1840) avec Victor Hugo. De 1830-1880: Réalisme avec Balzac, Flaubert, Maupassant puis Naturalisme avec Zola.
De 1870-1890: Rimbaud, Verlaine et Mallarmé c’est le Symbolisme.
Genre: Poésie,
Registre: Lyrique, Onirique (= ce qui fait partie d’un rêve),
Narration: interne « je »,
Situation d’énonciation: Classique, auteur s’adresse au lecteur,
Forme: Octosyllabes, rimes croisés, 15 quatrains: 13 strophes pour le rêve et 2 pour le réveil.
Plan: En quoi la description de cette ville est-elle une transcription architecturale de l’idéal Baudelairien ?
I. La transcription d’un rêve
A) Le songe de Baudelaire
1/ Les marques du rêve (je, pénétrer dans soi-même, interne, songe, sommeil v.5),
2/ Les temps (présent d’énonciation pour le matin, réel c’est le temps du passé),
3/ Il en est le créateur (fier de lui, rêveur, métaphore du peintre, tableau, génie, architecte v.37, verbe d’action: banni v.7, faisait)
B) prédominance de la description visuelle
1/ Champs lexical de la vue (v.2, image, spectacle, ce rêve s’était tout pour l’œil v.50)
2/ Importance de la lumière (brillai v.48, lumière, éblouissant, astre absent, nul vestige du soleil),
3/ L’image du miroir (idée de la lumière, côté rêve réalité, reflet ou original, naïades, glaces reflétaient, merveilleux),
C) Le merveilleux onirique
1/ L’aspect unique de sa vision (jamais mortel n’en vit, pierres inouïs (entendu), 2/ L’aspect magique (flots magique, féérie, prodige, merveilleux lyrique),
3/ Un côté un peu inquiétant (matériaux froid, aspect froid du paysage, silence d’éternité),
II. Une ville fantasmée
A) Grandeur et beauté
1/ Richesse et opulence (ville rêvé, parfaite, trésors, gouffre de diamants, or mat et bruni)
2/ Immensité de la ville (proportion démesuré, infini, gigantesque naïades, millions de