Le Premier Ministre italien Silvio Berlusconi est devenu la dernière victime de la crise de la dette d'euro. Il a été forcé de démissionner samedi, après une semaine qui a vu qu'il a perdu sa majorité dans le Parlement.

Une grande foule s'était(s'avait) déjà réunie(conclue) à l'extérieur du palais présidentiel de Rome quand le cortège d'automobiles de M. Berlusconi est arrivé.

On lui a donné une réception hostile. La foule a crié des insultes - l'appel(le métier) de lui un bouffon et un Mafioso - et demandé sa démission.

Ils n'ont pas dû longtemps attendre.

La réunion(rencontre) de M. Berlusconi avec le Président Napolitano a duré juste plus d'une heure.

Diffusion de nouvelles vite à travers l'Italie de la démission(résignation) du Premier ministre.

Le parti(La fête) a commencé. Les lièges de champagne ont été passés; les gens(le peuple) ont fait irruption dans la danse; la place(le carré) est devenue une mer de drapeaux italiens.

Un homme a répercuté plusieurs dans la foule - l'énonciation de nous est libre(gratuite), nous sommes finalement libres(gratuits).

Plusieurs d'autres ont raillé les allégations que M. Berlusconi a tenu prétendu ' bunga bunga ' des partis(fêtes) avec des filles mineures.

L'ancien Commissaire européen Mario Monti semble resolu pour gagner l'approbation du président comme un nouveau Premier ministre de technocrate. Sa responsabilité sera de stabiliser l'économie donc les élections peuvent être tenues, probablement au début de l'année suivante.

Des médias locaux disent que Berlusconi avait rencontré(respecté) Monti pour un déjeuner de 2 heures et avait consenti à le soutenir comme le nouveau leader de l'Italie.

Rome a bourdonné avec les nouvelles que M. Berlusconi était seulement quelques heures parti en fonction.

Le Résident Sandro Falbo était parmi la foule à l'extérieur du Parlement. "Je suis si heureux parce que si semble que l'Italie a perdu sa conscience morale ces dernières années," a-t-il dit.