Bombe
Depuis mi-septembre 2010, la France est, à cause de la forte médiatisation de la menace d'attentat terroriste, en état de panique ! Le mauvais encadrement des faits a été utilisé comme faille par certains groupuscules pour «passer à l'acte». Ces personnes, ou groupes de personnes préviennent les autorités par appels anonymes pour les alerter d'éventuelles présence de bombe, situé le plus souvent dans des zones ou la concentration humaine est très importante, notamment dans les gares et lieux touristiques.
Selon les faits, il y a eu 2 alertes à la fausse bombe à la Tour Eiffel le 14 et 28 septembre qui ont fait fermer la zone touristique pendant près de 2 heures, et plusieurs autres fausses alertes à la bombe ont été entendu dans les gares et stations, à Saint Michel le 14 septembre et à Saint Lazare le 27 septembre avec des interventions variant de 30 à 60 minutes (neuf fausse alerte à la bombe dans la capitale depuis le début du mois de septembre).
Il n'est pas difficile aujourd'hui avec les nouvelles technologies de trouver le lieu d'où l'appel a été passé, mais il est très difficile de retrouver l'inconnu qui a appelé. Cette piste sur la surveillance de l’identité des personnes pousserait peut être les autorités à investir plus de moyens sur la surveillance des sites de grandes foules, mais aussi sur les moyens de communications, notamment pour la surveillance des cabines téléphoniques, principal moyen d’appelle de ces malfaiteurs… Mais placer des cameras partout, c’est tout sauf une solution !
Mais qui sont ces acteurs?
Ces acteurs peuvent être des personnes agissant seules ou en groupe qui partagent l'idéologie terroriste d'Al-Qaïda mais de manière restreinte (ils n’ont pas de lien direct avec cette nébuleuse), ce qui les poussent en temps de crise de la société, notamment ici en France, à cause des revendications d'Al-Qaïda, de faire de faux attentats, faute de moyen pour en faire des vrais. De plus