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2. Communiquez, ou vous lasserez votre interlocuteur. "Un postulant qui ne parle pas, c’est rédhibitoire” dit Jones Steeve, manager d’un service client au sein d’une compagnie américaine basée en région parisienne. “Je prends pourtant soin de poser des questions ouvertes pour engager les candidats à développer un peu plus leurs propos, mais souvent sans succès. Et quand bien même je leur précise que j’ai besoin de plus d’information à leur sujet pour comprendre leurs parcours, j’obtiens rarement plus. Je leur donne une dernière chance en précisant à la fin de chaque entretien que c’est désormais à leur tour de me poser des questions. S’ils n’en ont pas, j’estime que c’en est trop : OK, merci, au prochain !’ Soyez donc préparé-e à développer vos réponses et apprenez à parler de vous !
3. Ne communiquez pas trop, ou vous lasserez votre interlocuteur. Suzanne Rochiers, chargée de recrutement au sein d’une société de biotechnologies grenobloise, redoute quant à elle les "moulins à paroles". "Un candidat qui fait un monologue de 20 minutes pour répondre à ma première question, c’est pas bon signe. Quand en plus il vous soutient que l’esprit de synthèse est un de ses atouts, c’est le pompon ! Je me souviens d’un entretien dantesque au cours duquel la candidate avait