Camparaison Fin de Partie et Ubu Roi
Alfred Jarry
FIN DE PARTIE
Samuel Beckett structure -drame de 5 actes, reprend les principes et les caractéristiques des situations tragiques, mais aussi des éléments comiques et burlesques
-en prose
-drame sans actes
-parodie aux conventions théâtrales classiques
-pas d’ordre logique, plupart des répliques sans intérêt
-dialogue chez Beckett pas la même fonction que dans le théâtre classique souvent aucune raison
-didascalies composent 30% de l’œuvre langage -langage inventé, surtout insultes : « merdre », « de par ma chandelle verte », « phynance » usage idiosyncratique
-langage grotesque et vulgaire, modèle : Rabelais
-des hyperboles, la redondance
-dialogue selon les conventions classiques
-peu de didascalies provoque l’imagination du lecteur
-faillite de langage, pas brillant et clair, mais simple et familier
-ne parvient pas à exprimer les sentiments d’une façon intelligible
Beckett accentue les défauts de communication, ’incompréhension mutuelle
>silences : « un temps » tout au long du texte
>répétitions : obsessions des personnages rôle primordial type de théâtre
-précurseur du théâtre de l’absurde
-selon des critiques: théâtre de l’absurde, mais Beckett pas d‘accord titre -fait référence au théâtre antique : « Œdipe roi » de Sophocle
-« Ubu » ne renvoie à aucune référence littéraire, onomatopée burlesque
-fin du jeu (jeu d’échecs), fin de la pièce, fin du monde l’espace/ lieu
-Pologne, Ukraine, Lituanie
-selon Jarry : « Nulle part »
-dans un temps indéterminé
-l’espace fermée, reste la pièce tout au long du théâtre
invite les personnages à mesurer leur pouvoir et la domination
-une pièce funèbre et vide, fauteuil à roulettes, deux poubelles, un escabeau, deux fenêtres en haut personnages -père Ubu : ancien roi d’Aragon, officier de confiance du Venceslas, mais tue celui-ci et prend sa place ; lâche, naïf, bête, gros, goinfre, méchant, avare, vices primaires, cruauté