Au XVIIIe siècle, la culture française dominait la majeure partie de l’Europe. C’est à ce moment que l’Angleterre commence à prendre plus d’expansion. Certains appellent cette période de l’histoire comme le « siècle des Lumières ». Étant donné que plusieurs sont venus bouleverser les mouvements de pensée, tel que la manière de percevoir le monde, certains réalisent qu’il faut aller loin que les idées préconçues qu’ils ont de la réalité. Voltaire, qui est un philosophe des lumières et un des plus populaires, va s’opposer au gouvernement de l’époque. Tout en évitant la censure, il va continuer à publier ses idées dans plusieurs de ses écrits. Voltaire est aussi l’auteur d’un livre très populaire écrit en 1759. Il s’intitule Candide, mais est aussi appelé l’Optimisme. Dans ce conte philosophique, il démontre ironiquement les enjeux de la société. Il y critique la guerre, ainsi que la philosophie optimiste. Effectivement, Voltaire va très bien démontrer l’absurdité de cette guerre en la critiquant sévèrement. En outre, il ridiculise la philosophie optimiste à travers ces expériences. Tout d’abord, Voltaire, à travers Candide, glorifie beaucoup la guerre, mais de façon sarcastique. Dès le début de l’extrait, Candide met la guerre sur un piédestal. Alors qu’on comprend très bien, grâce à son ton ironique, qu’il veut complètement dire l’inverse. Comme dans cet extrait : «Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées ». Dans ce passage, Voltaire utilise le ‘’si ‘’pour amplifier ces propos, comme s’il parlait d’une œuvre d’art. Cet extrait est entièrement basé sur une antiphrase, il nous confronte aux absurdités de la guerre. Dès le début du livre, Voltaire nous met dans un climat de moquerie qui va se continuer tout au long de l’extrait. Il se moque de la guerre et de l’importance qu’elle peut avoir auprès des combattants. Par ailleurs, lorsque Candide dit : « éventrées après avoir assouvi les besoins naturels de quelques héros », le mot