I/ Produit

C) Comment et où on y joue -> environnement du jeu et mode de partage -> les canaux utilisés (corrélation smartphone)

Même si le nom ne vous dit rien, vous connaissez forcément Candy Crush pour avoir vu votre voisin de train, copine ou collègue y jouer
Candy Crush n'est pas si différent des autres petits jeux pour smartphones, il reste basique et vise le même public que celui d'Angry Bird ou Paf le chien. Mais il combine plusieurs éléments qui le rendent très addictif.

Ce jeu vidéo disponible gratuitement sur mobile et Facebook connaît un succès fulgurant.

Le jeu est mis à jour régulièrement, ce qui le rend quasiment impossible à terminer. Son niveau de difficulté est par ailleurs suffisamment complexe pour intéresser le joueur, mais aussi suffisamment accessible pour ne pas le décourager. Enfin, le principe - cruel - d'interrompre le jeu à chaque fois que l'on perd toutes ses vies est assez frustrant pour amener les joueurs à se reconnecter, une demi-heure plus tard, et enfin finir le niveau convoité.

Disponible depuis fin 2012 sur les appareils sous Android et iOS.

Quelque 130 millions d’accros à Candy Crush y jouent en se connectant via Facebook, ce qui représente 10 % des utilisateurs et en fait le jeu numéro 1 du réseau social.
Candy Crush ést le jeu pour smartphone le plus téléchargé sur la plate-forme Google Play et sur l'App Store . Le site spécialisé Think Gaming estime qu'il est téléchargé 225.000 fois par jour.

II/ Stratégie

F) Interface du jeu (présentation des principes et appui sur la simplicité : musique enivrant, gratuité, design acidulé -> bonbon cf phénomène adulecsents)

http://www.youtube.com/watch?v=9C26KxEZ0DE&feature=player_embedded

1- Une concentration toute relative

Candy Crush est construit de telle sorte qu'il sollicite le côté "mécanique" du cerveau : on peut y jouer comme on griffonnerait sur un bloc-notes en étant au téléphone. Il n'est pas monopolisant, ne demande pas une attention ou une concentration