2. Dans le chapitre "Cas de Conscience" de La Guerre sans nom à la page 220 Argelès dit:
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De quoi parle Argelès et pourquoi ses paroles sont-elles paradoxales? Expliquez en détails et en faisant des références précises aux textes/documents vus en cours.

La guerre d'indépendance algérienne est un conflit qui se déroule de 1954 à 1962. Cinq ans après le début du conflit, Général Charles de Gaulle devient le dix-huitième Président de la République française du 8 janvier 1959 à la suite des échecs de la Quatrième République en Indochine et en Algérie pour maintenir la colonie l'Algérie française. Politiquement, il était d'extrême-droite et s'oppose aux partis communiste et socialiste en France de l'époque. Malgré l’utilisation de tous les moyens possibles contre les nationalistes algériens, le drame algérien est devenu trop coûteux à l’égard des aspects humain, sociopolitique et économique. Ainsi, de Gaulle a décidé de cesser la guerre à travers la négociation avec le FLN (Front de libération national).
Il y a eu une tentative de coup d'État du 21 avril 1961 organisé par quatre généraux en Algérie contre le président de la République et de son gouvernement à cause de la négociation secrète et cette trahison. Lors d'une allocution radiodiffusée et télévisée qu'il prononce en uniforme, de Gaulle a condamné cette action et a ordonné à tous les soldats français de refuser exécuter les ordres de ces généraux.
Classé à gauche, le PCF (parti communiste français) revendique la paix en Algérie et la fin des combats. C'est-à-dire, ils ont été en faveur de l'indépendance de l'Algérie. Malgré de cette mentalité, il y avait beaucoup de soldats communistes dans l'armée française. Par exemple, Gilbert Argelès est l'un des soldats communistes qui a été forcé de participer à la guerre d'Algérie dans seizième bataillon de chasseurs au milieu des montagnes de Kabylie. Comme un soldat communiste, Il a eu naturellement un sentiment antigaulliste. Mais en dimanche 23 avril