CAS WARMI

Analyse du contexte

1) La finalité de l’entreprise WARMI est la responsabilité sociétale et environnementale.
Warmi produit et vend des vêtements éthiques pour maximiser ses ventes et répandre sa marque, elle possède déjà huit points de ventes dont un à Londres.
Au niveau de la finalité sociétale, Sylvia Toth cherche à donner une valeur aux vêtements car ils sont fait mains. Elle cherche aussi à créer de l’emploi pour des femmes colombiennes qui n’ont pas forcément fait d’études, à intégrer des femmes plus jeunes qui pourront être formé au métier de tisserandes. Son objectif à court terme est de pouvoir faire vivre ses femmes intégralement de ce travail. Ainsi les collections sont entièrement tricotées main par ses femmes des villages de Tausa et Sutatausa en Colombie, elles effectuent le travail à domicile.
Pour la finalité environnementale on voit que la jeune créatrice cherche à conserver la culture artisanale de Colombie puisque al collections est tissées main selon les techniques traditionnelles avec des matières bio, tel que le baby alpaga et le coton bio. Ce qui donne aux vêtements une valeur avec une production soignée et équitable. Ce qui touche les clientes soucieuses de l’environnement.
La finalité sociétale et environnementale de l’entreprise vient de ses origines Colombiennes qu’elle fait ressortir en conservant ses valeurs et sa culture. Ainsi que son expérience et sa formation dans la mode a permis d’intégrer tout cela pour une marque éthique.

2) Ces deux organismes accompagnent la jeune créatrice d’entreprise dans sa création d’entreprise et lors de l’apprentissage du métier.
L’union des couveuses rassemble plusieurs couveuses d’entreprises en France et permet aux futurs créateurs d’entreprises de tester en grandeur réelle leur projet dans un processus d’apprentissage du métier de chef d’entreprise. Sylvie Toth affirme donc que l’union des couveuses était l’idéal et cela a parfaitement répondue à ses attentes.