Champ additif
Sens des opérations et techniques de calcul
Les problèmes qui requièrent une addition ne sont pas toujours plus faciles à résoudre que ceux qui requièrent une soustraction. on n’apprend pas à résoudre les problèmes additifs puis les problèmes soustractifs. Le sens de + et de – se construit simultanément progressivement. classification des problèmes additifs
Comment apprend-on à reconnaître des problèmes additifs?
« De la GS au CE1, il s’agit de conduire les élèves à résoudre des problèmes, essentiellement additifs (cela regroupe addition et soustraction) et multiplicatifs, « problèmes simples à une opération » et de les amener à automatiser le processus de reconnaissance de l’opération.
L’apprentissage suppose d’être attentif à différents points : ➢ la compréhension de l’énoncé (y compris le jeu symbolique, scolaire, qui consiste à s’emparer d’un problème ; devenir élève de ce point de vue est essentiel) ; ➢ la diversité des formes de présentation (variété des habillages) ; ➢ la progressivité de l’élaboration de procédures plus efficaces et de l’automatisation des procédures utilisées. »
Doc. Accompagnement sur le nombre au cycle 2. => Passage de « procédures personnelles » à une « procédure experte ».
1. Problèmes où des objets sont présents. Les résultats peuvent être obtenus par dénombrement des collections.
2. Problèmes où les objets ne sont pas présents. Dans un premier temps, on les représente (de manière figurative, puis abstraite), puis on raisonne uniquement sur les nombres : on effectue alors un calcul, et on prend conscience que les nombres permettent d’anticiper un résultat.
3. Traduction écrite des situations vécues, par des opérations.
On introduit les écritures avec « +, -, = » après avoir résolu, à plusieurs reprises, des problèmes où le nombre permet d’anticiper un résultat, sans que le comptage de 1 en 1 ne soit nécessaire. On prend soin d’écrire :
4 + 2 = 6, 2+ 4 = 6, 6 = 4 + 2
Premiers