Chapitre 5 : La concurrence monopolistique & la différenciation des produits

C’est la 4ème et dernière structure de marché. CPP, Monopole et Oligopole.
Considéré le cas d’un fast-food dans une zone commerciale. Pour se démarquer de ces concurrents, il veut faire des hamburgers bios dans le centre commercial, c’est le seule à vendre ce produits-là. Cette caractéristique le rapproche d’un monopole. Néanmoins, il n’est pas le seul à vendre de la restauration rapide : il y a un fast-food traditionnel à 10 mètre, un self-service. Le fast-food bio à un certain pouvoir de marché, il est en mesure de fixer ses prix, mais il doit tenir compte des alternatives qui sont dans le centre commerciale (concurrence) si certains consommateurs préfère manger des hamburgers bio, ils ne sont pas prêt à payer n’importe qu’elle prix sous peine d’aller voir ailleurs. A l’inverse, s’il vend ses hamburgers bios un peu plus chers que ses concurrents, il ne perdra pas tous ces clients. De plus, s’il vend un peu moins cher que les autres, il ne va pas faire venir tous les consommateurs car certains préfère manger autres choses.
Le fast-food bio n’est pas dans un cadre de Concurrence pure et parfaite, aucun prix ne s’impose à lui. Ce n’est pas un monopole pur car il ne fixer le prix qu’il souhaite. Par rapport à l’oligopole, il peut exister un très grand nombre de restauration rapide dans le centre commerciale, il peut en avoir beaucoup trop pour envisager une collusion.
I. La concurrence monopolistique
Typiquement, le fast-food bio est dans une concurrence monopolistique. Situation très fréquente dans l’industrie des services, l’hôtellerie, les stations-services… chaque entreprises (peut-être très nombreuse) a une certaine capacité à fixer les prix, mais elle est limiter par l’existence de ombreux concurrent qui propose des produits proche mais pas identique. On relâche l’hypothèse d’homogénéité des produits.
Concurrence monopolistique : structure de marché dans laquelle il y a