J'ai peur que tu m'oublies, peur que me laisse filé encore, que tu me remplaces, que tu me méprises, que tu joues avec moi. J'ai peur de t'aimer et j'ai peur de ne plus t'aimer. J'ai peur de toi, de ta façon d'être, peur des autres filles, peur de ma jalousie. J'angoisse tu sais, c'est une angoisse perpetuelle qui me bouffe. Je n'ai plus confiance. Pourtant je t'aime, crois moi sur parole, ca oui je t'aime. Pourtant il n'y a pas d'amour sans confiance, et bien moi je t'aime. Et bien plus que je ne le montre, tu me manques souvent. Tu sais que j'ai besoin de toi, de ta voix, de tes bras, de ton sourire,... Ne me quitte pas. Tu changes. J'ai peur, de toi, de moi, de tout. Mais à chaque moment, souviens toi que moi, où que je sois, je pense à toi.

A travers cet étrange voile sonore, je ne percevais plus qu'une seule chose : la présence de Peyton, le fille dont les dessins, la passion et la beauté avaient changer ma vie. A ce moment là, ma plus grande joie n'était pas d'avoir remporté le championnat mais d'avoir enfin ouvert les yeux. Je venais de comprendre que nous étions vraiment fait l'un pour l'autre, et que nous n'en avions doutés que parce que nous nous voilions la face. Mais il fallait nous rendre a l'évidence. J'étais à ce moment précis et je serais toujours fou amoureux de Peyton Sawyer.

Je veux rire aux éclats. Le rire qui t'en donne mal au ventre et qui t'en fait pleurer. Ce sourire qu'on ne peux effacer, si beau graver à la mémoire. Le fou rire contagieux qui nous plies en deux, coucher à terre à n'en donner des coups de pieds par terre. Je crois que j'ai perdue le miens. Trouver le sourire peut être si simple, mais le vrai qui sort naturellement est plus compliqué que je le croyais. Le sourire hypocrite qui m'envahit tous les jours me tape sur les nerfs. Mon faux rire pour mieux faire passer et changer le mal de place.. . J'ai pas envie de partager, pas envie de croire que demain je retrouverais le sourire, pas envie de faire semblant, et