Commentaire de texte hegel la conscience
Florian
TS2 Philosophie
L’Homme, à travers tous les âges, a su grandir et évoluer et ainsi nous faire hériter du savoir qu’il a jusqu'à aujourd’hui conquit. Malgré que l’Homme soit acteur du monde, il n’a su changer sa nature et reste d’un côté, un être naturel, soumis à des besoins, des penchants et des désirs, d'un autre, il est cet être qui peut s'élever au-delà de sa condition naturel. En ce sens, HEGEL, (Georg Wilhelm Friedrich 1770-1831) philosophe allemand admirateur de Kant et de Rousseau auteur de l’œuvre phénoménologie de l’esprit en 1907 pour faire comprendre l’originalité de sa pensée au monde. Ainsi, l’auteur répond en deux parties répond à la question comment l’esprit arrive t-il a dominé et surpasser la nature ?
HEGEL affirme d’abord les deux thèses principales sous forme de « deux monde séparés » d’abord celle de l’Homme du monde concret et des « déterminations autonomes » en fracture avec la thèse de l’Homme qui pense et rattaché a l’abstrait (de l.1 a 6). Il argumente et amplifie ces deux thèses en commençant par l’Homme décrit péjorativement dans ces « tristes nécessités de la vie » puis d’autre part de l’Homme montrant « le royaume de la pensée et de la liberté. L’auteur argumentera son écrit en explicitant ces deux parties par la suite.
L’Homme, en effet, a tout d'abord une dimension biologique. Comme les animaux, il a des obligations pour vivre et subvenir à ses propres besoins dans le monde sensible. HEGEL décrit que l’Homme a un besoin d’être attaché au concret et reste emprisonné dans sa vie et de dépendre de l’indispensable pour lui-même tel que, par exemple, nos attachement alimentaire.
Cet attachement à la matière est indéniable et c’est en quelque sorte le talon d’Achille de l’humain. En effet, ce point faible de l’homme pour HEGEL est vu comme une contrainte car l’auteur insiste sur un vocabulaire cru quand il parle de l’homme : « emprisonné dans sa vulgaire réalité […] enchainé […], dominé ». Tous ces