Commentaire germinal de emile zola
La réputation de ZOLA est déjà, en 1884, excellente. Car Germinal est le 13ième livre qu’à écrit ZOLA et malgrès ses problèmes de santé ZOLA continueras d’écrire. C’est aussi son 3ième roman de la série des Rouçon-Macquart. Germinal se déroule au nord de la France où se situe les mineurs pour nous inviter à comprendre leur vie. Nous pouvons lire au début du roman, comment il est pénible de travaillé dans les mine. Dans une première partie Zola, nous donne une vision réaliste puis une vision précise.
Zola décrit énormément la mine, dans la première partie, avec beaucoup de sensations comme le toucher, il a tout d’abord la chaleur avec aux lignes 1 : « température », 2 : « trente-cinq degrés », 4 : « chauffait » et « brûler ». Puis ensuite il y a l’humidité aux lignes 6 : « humidité », 7 : « eau », 8 : « gouttes », 11 : « trempé » et « sueur », 12 : « buée ».
Puis le sens suivant que nous remarquons dans le texte est la vue. Le noir est massif dans ce texte car l’extrait ce passe dans une mine, nous retrouvons à la ligne 19 : « les ténèbres fussent d’un noir inconnu ». Mais nous pouvons aussi constater que tout n’est pas noir car il y a un peu de lumière comme nous le montre l’extrait à la ligne 21 le mot «lampe ».
Enfin le dernier sens nous pouvons vérifier est l’ouïe à la ligne 18 : « bruits », « sonorité rauque » et « écho ». Nous pouvons aussi noter que Zola emploi des termes très technique lier au métier de mineur : « havane », « taille », « rivelaines ». Pour que Zola soit encore plus crédible dans son roman il utilise un point de vue omniscient, ou par une personne anonyme car il utilise le pronom « on » : « on n’entendait » (l.17), « on ne distinguait rien » (l.22).
La description du roman de Zola , présente le malheur des mineurs et le supplice qu’il vivent tout au long de leur travail, et pour que le lecteur puisse avoir une sensation de pitié Zola a choisi un