Commentaire lorenzaccio
Sujet : Selon vous, quels sont les sentiments le spectateur/lecteur peut-il éprouver à l’égard de Lorenzaccio à l’issue de l’acte I ?
La pièce traitée Lorenzaccio est écrite par Alfred de Musset en 1833. En France, nous sommes en pleine révolution de Juillet avec un retour au pouvoir de la monarchie avec Louis XVIII. La pièce est reprise de Georges Sand, sa liaison de l’époque. Elle en avait fait qu’un acte que Musset développe en cinq actes ; c’est une pièce qui est destiné à être lu « dans un fauteuil ». La pièce se déroule en 1537 à Florence sous le joug du duc, Alexandre de Médicis. Lorenzo projette de l’assassiné pour amener une République. Pendant que tout ceci se trame, on remarque la manipulation et les trahisons qui ont envahi Florence. Donc, quels sont les sentiments que le spectateur ou le lecteur peut éprouver à l’égard de Lorenzo à l’issue de l’acte I ? Le spectateur peut au moins éprouver quatre sentiments différents : des sentiments négatifs, de la compassion, de la fascination et un sentiment de doute.
Tout d’abord, le lecteur va éprouver des sentiments négatifs à l’égard de Lorenzo. On ressent des sentiments négatifs à l’égard de Lorenzo par rapport aux paroles de ses victimes tels que les marchands, sa mère ou les bannis. Ils nous informent que Lorenzo manipule les gens, il récolte des informations puis va tout répéter au Duc qui les bannis ou les jettent en prison, c’est l’espion du duc. Sa mère en parlant à Catherine raconte que Lorenzo était un tout autre homme avant d’arriver à Florence. Le duc l’a pervertit, l’a fait devenir malhonnête, libertin, débauché. Le duc le fait passer pour un faible, d’abord avec une description physique peu agréable « maigre » , « yeux plombés », « mains fluettes », il a un visage impassible, qui ne sourit jamais ; puis en le faisant passer pour un lâche avec la scène de l’épée : Sire Maurice le provoque et le duc demande à sortir les épées en sachant que Lorenzo n’en supporte