Commpentaire composé
La mort n’oublie personne est un roman écrit par Didier Daeninckx en 1989. Ce passage nous raconte le chemin que fait Jean Ricouart avant de rencontrer Camblain.
Comment se déroule se passage ?
Dans ce passage les verbes sont au passé simple et à l’imparfait car Jean Ricouart décrit se qu’il trouve autour de lui et évoque un succession de faits . Tout d’abord face à lui il énumère ce qu’il voit, « des péniches et des bateaux à fond plat étaient accostés au quai, des chargement de bois, de minerai, de céréales ». Puis il tourne vers la droite « J’obliquai sur la droite » et il avance « Je remontai ». Tout ces verbes sont au passé simple « traversai » (L.1), « obliquai » (L.6), « remontai » (L.8), « poussai » (L.10) car cela exprime tout d’abord une succession de fait mais ensuite des actions courtes.
Ensuite une fois que le narrateur à passer la porte cochère, l’imparfait est employé pour décrire ce qui se trouver derrière cette porte, « Elle s’ouvrait sur la cour d’une maison d’ouvriers agricoles », « je pouvais apercevoir la grange et l’écurie » .
Enfin le narrateur se trouve à côté de la maison et lorsqu’il se retourne , il aperçoit un homme, il fait une courte description du bas du corps de l’homme « un homme de grande taille vêtu à la manière des maraîchers, campé sur des bottes qui lui montaient jusqu’aux genoux ». La plupart des verbes sont au passé simple « revins » (L.22), « retournai » (L.23).
Comment sait-on que Jean Ricouart est un jeune Résistant peu expérimenté ?
Tout d’abord Jean Ricouart ressent de la peur, la peur d’être arrêter par les autorités « serrant mon arme au fond de la poche » on peut supposer que tout le monde voit son arme et il essaye de la cacher.
Ensuite, «j’eus la sensation que l’on m’observait » il ne se sent pas seul, il pense que quelqu’un le regarde sans être vu.
De plus, lorsque Camblain lui demande si c’est bien lui Jean Ricouart il ne dit rien «je m’immobilisai sans prononcer le