Constit

5786 mots 24 pages
Economie politique.

Introduction.

L'économie, la science économique d'Aristote ou l'économie politique d'Adam Smith et des auteurs classiques, est la science visant à définir la meilleure allocation des ressources, à satisfaire un certain nombre de besoins avec des biens rares.
Pour les auteurs néoclassiques, c'est la recherche de la plus grande objectivité efficacité dans la création et la répartition des richesses dû à la croissance.
Comme les autres sciences humaines, c'est aussi l'étude des écoles et des conséquences des comportements humains, on y développe une approche scientifique.
« Une proposition est dite scientifique lorsqu'elle est réfutable, » selon K. Popper. Il y a une distinction entre l'analyse positive - ce que sont les choses - et l'analyse normative - ce qu'elle devrait être.
La seule finalité légitime de l'économie et l'accroissement du bien-être des individus. On distingue deux types de besoins : marchand et non marchand.
L'économie n'est pas une science fermée, le contexte, histoire, la sociologie, etc., jouent beaucoup. C'était une science qui se bat sur des conséquences et des déductions logiques et sur des jugements de valeurs.

Chapitre un. Les fondements théoriques de l'économie politique.

Première section : les précurseurs.

§1. D'Aristote à saint Thomas d'Aquin : la condamnation du gain.

Pour Aristote, l'économie est la science de la gestion de la maison, le bonheur étant la finalité première. On considère que les biens matériels concourent au bonheur - on suppose donc un échange - mais on n'a pas une vision utilitariste de la société.
On considère qu'il faut encourager l'échange visant à combler un besoin mais que l'échange chrématistique - en vue d'enrichissement - est à condamner.
La pensée aristotélicienne retrouve de l'influence XIIIe siècle dans les écrits de saint Thomas d'Aquin - les scolastiques - qui veut limiter la propriété individuelle, l'échange et les gains qui en découlent. Pour lui l'échange ne

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