Contrat social
Ces deux articles sont le fruits de mouvements de pensées du XVIIe au XVIIIe siècles avec Hobbes dans la première moitié du XVIIIe siècles, puis Locke à la fin du XVIIe et XVIIIe siècles et enfin Jean Jacques Rousseau dans la seconde moitié du XVIIIe siècles.
Notre Constitution d’aujourd’hui s’appuie toujours sur ces deux premiers articles qui énumère en quelques sortes les Droits naturels étant la liberté, la propriété, l’égalité et le Droit de résistance à l’oppression.
Hobbes, Locke et Rousseau se sont posés la question de pourquoi l’homme vit en société, ou plus précisément quels ont été les facteurs de son entrée en société. Tous les trois posent la théorie du Contrat Social.
Cette idée de Contrat Social suppose un « Etat de nature » là où tout à commencé pour l’homme. Cet Etat de nature est différente pour chacun des auteurs. En effet, pour Hobbes, il définie l’Etat de nature sous l’expression « la guerre de tous contre tous » où « l’homme est un loup pour l’homme ». Pour Locke, l’Etat de nature est là où chacun jouit de Droits naturels ( liberté et propriété privée). Et enfin pour Rousseau où l’homme est naturellement bon et où chacun agit selon son intérêt personnel.
Ils vont décrire les causes de ce changement d’Etat de nature à un Etat soumis au Contrat social.
Le Contrat social a pour but premier de conserver les libertés. Ce but n’est pas remis en cause par les trois auteurs. En effet, c’est le point commun que l’on trouve pour expliquer l’origine de ce contrat.
Là où la divergence survient, c’est concernant la deuxième finalité du Contrat social. Effectivement, pour Hobbes le deuxième but du Contrat social est la sureté. Pour Locke c’est la propriété et pour Rousseau c’est l’égalité.
La vision de