Corpus baudelaire correspondances
Le vers 5, se terminant par « confondent » produit l’écho du vers 8 avec la reprise de la sonorité (voir feuille) avec « confondent ». Nous avons ensuite la théorie des synesthésies qui apparaît clairement dans le vers 6 avec le mot « ténébreuses », puis qui se précise à travers « profonde unité ». Comme si seul l’auteur, le poète, pouvait percevoir cela, pendant que l’opacité empare lecteur. Vers 7, nous avons un système de synesthésie qui se met en place, se reliant au vers 6. En effet, « une ténébreuse », vers 6, rentre en lien avec « comme la nuit » vers 7. Puis nous avons ensuite « unité » avec « clarté ». Notons d’ailleurs que le vers 7 contient une oxymore, avec le terme « nuit » et « clarté …afficher plus de contenu…
La personnification est prolongée vers 2 par un enjambement. Les piliers, lâcheraient de « confuses paroles », l’Homme, ne saurait traduire ces dires. Vers 3, nous avons encore l’idée que l’Homme serait incapable, du moins, ne pourrait quasiment pas comprendre ce qui se passe, il passe en effet à travers ds « forêts de symboles ». Il faudrait en quelque sorte décoder ces signes. Enfin, nous avons encore un enjambement entre le vers 3 et vers 4, continuant la liaison. L’Homme serait indifférente à la nature, pendant que elle, nous observerait à travers des « regards familiers ». Les correspondances sont au final rien de plus qu’une liaison. Les correspondances verticales seraient un lien entre l’Homme, et la « Nature », une sorte de théisme