Culture de la communication
Première partie (8 points)
1) Quelles sont, d’après Isabelle Queval, les composantes et les limites de la recherche du « dépassement de soi » dans le sport ?
Le sport à un rôle formateur dans lequel le dépassement de soi trouve sa place.
D’après Isabelle Queval le projet et l’aboutissement de vie, la réalisation d’une carrière, d’un rêve et l’épanouissement dans l’activité que l’on a choisie et que l’on aime s’incarnent dans la réussite sportive.
Chaque homme veut donner un sens à son existence et le dépassement de soi même dans le sport permet de toucher à un but.
Le sport peut être représenté comme un axe d’intégration social qui permet à chacun de réussir selon son talent personnel.
En surmontant les obstacles les plus difficiles le sportif se défie plus soi même qu’il défie les résultats sportifs, il affronte ses propres limites psychologiques. Le sportif s’adonne à une recherche de la réalité plus abstraite et philosophique.
Le sport est censé être accessible à tous et si le sportif se dépasse c’est pour pouvoir se différencier des autres pour être le meilleur car comme cela est cité à la ligne une du texte, « le dépassement de soi mène à la gloire ».
Cependant il à ses limites car il provoque des catastrophes quand l’effort verse dans l’excès et la performance dans la démesure comme par exemple pour Ayrton Senna qui est mort sur le circuit Immola en 1994 parce qu’il voulais une fois de plus dépasser ses limites et devenir une nouvelle fois champion du monde. Quand le dépassement de soi dans le sport est excessif il ouvre des « abîmes » (l.8).
2) Utilise-t-on les sportifs dans les campagnes de communication en valorisant essentiellement le dépassement de soi ?
Votre réponse s’appuiera sur l’analyse d’exemples précis à l’exclusion de la campagne proposée en deuxième partie.
Dans les campagnes de communication les sportifs ne sont pas utilisés essentiellement pour valoriser le dépassement de soi. Ils