Envoyé par Céline Ca.

LA DESCRIPTION ROMANESQUE

Elle se définit le plus souvent /à la « texture complexe » du récit , dans lequel alternent la narration (d’actions ou d’événements ) , la DESCRIPTION (de personnages , d’objets , de lieux ) ,la parole et la pensée représentée le commentaire . Selon MOLINO : elle correspond à un des éléments de la phrase narrative élémentaire .

LA THEORIE des LIEUX RHETORIQUES
QUIS ( personna )
QUID ( factum )
CUR ( causa )
UBI ( locus )
QUANDO ( tempus )
QUEMADMODUM ( modus )
QUIBUS ADMINICULIS (facultas )

Les 5 premiers demandent une DESCRIPTION , et même si le texte ne la fournit pas , le lecteur la construit mentalement . On a donc les DESCRIPTIONS de : personnes , d’objets , de lieux , de temps , les scènes et les tableaux , les descriptions psychologiques . Pour la RHETORIQUE , la DESCRIPTION : l’evidentia : FAIRE VOIR et FAIRE CROIRE .

SCHEMA de la SEQUENCE DESCRIPTIVE selon Jean-Michel ADAM
1° Opération : L’ANCRAGE REFERENTIEL la séquence descriptive signale au moyen d’un NOM , un THEME-TITRE . On dit de quoi on va parler ou , en fin de séquence , de quoi ou de qui on vient de parler , ou on reprend en le modifiant , le thème-titre initial par opération de REFORMULATION .
Le thème-titre : facteur d’ORDRE et de COHESION .

2° Opération : L’ASPECTUALISATION donner les DIVERS ASPECTS d’un lieu , d’un objet , d’une personne .
L’opération d’ancrage met en évidence le tout et l’ASPECTUALISATION opère une FRAGMENTATION , tout en maintenant une cohésion , puisqu’on attribue les aspects au thème-titre .
Toujours se poser la question de l’EFFET PRODUIT .

3° Opération : LA MISE EN RELATION surtout intéressante pour le phénomène d’assimilation , comparative ou métaphorique .

4° Opération : LA SOUS-THEMATISATION à la source de l’EXPANSION DESCRIPTIVE , une partie choisie par aspectualisation peut être choisie comme sous-thème .

FINALITES DIVERSES de la DESCRIPTION
Un souci de savoir + rendre compte le plus précisément possible