Design et packaging
L’aperception : C’est l’art de faire naitre une information dans la tête de sa cible sans s’en rendre compte.
Exemple :
Le code : Le code est un raccourci, c’est quelque chose que l’on invente.
On peut apprendre les codes de 3 manières :
- Instruction : on reconnaît un panneau « cédez le passage » car c’est un code que l’on a appris de manière instructive.
- Durée : on reconnaît le pot de yaourt par exemple car c’est quelque chose que l’on est habitué à voir depuis longtemps.
- Motivation : exemple du feutre du designer.
Le code peut être un geste par exemple. Il existe beaucoup de manières de saluer une personne, un signe de la main, ou un simple penchement de la tête suffit aussi.
L’intérêt du code c’est la rapidité : on pénètre tout de suite. Cependant, avec les codes, il n’existe pas de suggestions possibles, soit on sait, soit on ne sait pas.
L’esthétique : C’est une sensation, un moyen de fixation. L’esthétique c’est porter l’œil sur quelque chose. Il existe 4 facteurs :
- L’émotionnel : c’est le facteur le plus puissant mais le moins agréable. En publicité par exemple, le but est d’obtenir une attention par la peur, la mort, l’horreur, la surprise…afin de permettre au consommateur de fixer une information.
- Le cognitif : Le but est de fixer par des choses que l’on connaît déjà. Par exemple, pour un produit qui cible les femmes, il faut jouer sur l’aspect émotionnel étant donné qu’une fille est plus sensible qu’un homme.
- La compréhension :
- La relation psychologique : c’est le seuil psychologique des enfants et des handicapés.
Le premier niveau et le deuxième niveau de lecture : Le premier niveau de lecture est dénotatif tandis que le deuxième est connotatif. L’attaque se fait toujours au 2ème niveau de lecture.
Par exemple, la phrase « Isabelle a les yeux bleus » est une connotation. C’est un premier niveau de lecture.
Cependant, une association de couleurs donne un 2ème niveau