Devoir psychanalyse (freud)
Question n°1 :
Évoquez une situation mettant en évidence un mouvement transférentiel ou contre-transférentiel.
J'ai dans mes connaissances deux psychothérapeutes avec qui j'aurais pu débuter une analyse mais je ne l'ai pas fait parce que je n'avais pas le « feeling » pour me livrer à eux.
Ensuite, je suis allée chez un parfait inconnu « pour voir », sauf que dès les premiers instants, par sa manière de me parler et de me regarder je me suis surprise à lui raconter ma vie, sans réfléchir !
En me penchant sérieusement sur la question du transfert, j'ai compris que quelque chose chez lui m'apaisait, me mettait en confiance alors que je ne l'avais jamais vu et finalement, j'ai trouvé que son regard, la forme même de son visage et la distance qu'il y avait entre nous ressemblait étrangement à un homme de ma famille, qui représentait pour moi, la force tranquille, le respect ,la compassion et une forme d'autorité, un homme que j'ai adoré.
C'est ce détail que mon inconscient a reconnu bien avant moi qui a fait que d'un seul coup j'avais trouvé mon psychothérapeute.
Voilà pour mon transfert positif ce qui m'amène a dire que les mauvais feelings que j'ai ressentis avant devaient être également des transferts mais négatifs...
Question n°2 :
Selon vous, en quoi le « jeu de la bobine » décrit par Freud dans « au-delà du principe de plaisir » augure-t-il l'accès au symbolique pour l'enfant ?
Dans ce texte, Freud raconte ses observations sur son petit fils de 18 mois dont les rapports avec ses parents et la domestique étaient excellents.
Cet enfant ne parlait pas de manière compréhensible (dû à son âge), il ne réveillait pas ses parents la nuit, il obéissait aux interdictions mais surtout, ne pleurait jamais pendant les absences de sa mère.
Freud a observé ce « jeu de la bobine », l'enfant jetait sans cesse la bobine par-delà son lit en prononçant o-o-o- (fort) et tirait sur la corde pour faire revenir la bobine en la saluant par