Dissert
Victor Hugo Préface 1832
« Le dernier jour d'un condamné »
La préface de 1832 éclaire le lecteur sur les intentions de l'auteur en écrivant en 1829 « Le dernier jour d'un condamné ». Il s'agit d'un récit qui adopte la forme d'un journal et qui évoque les tournants d'un condamné à mort. La préface est un texte argumentatif qui défend l'abolition de la peine de mort.(Rappelez les idées de Victor Hugo sur le plan politique et sociale voir autobiographie Victor Hugo)
Annonce du plan : Partie 1 : La thèse Partie 2 : Le blâme des juges Partie 3 : Problématique littéraire
La thèse
Ligne 24 : L'abolition de la peine de mort. Combat pour le respect de la vie : cause universelle
Ligne 29 : Terme plaidoirie générale
Ligne 31 : « L'humanité »
Ligne 35 : « Palpiter »
Ligne 33 : « avoir horreur du sang »
Ligne 38 : « Vie et mort »
Ligne 51-52 : Plaidoyer aussi vaste que la cause
Ligne 54-58 : Il cible des destinataire précis
Le blâme des juges
On leur reproche l'hypocrisie, usage de la rhétorique pour la mauvaise cause
« Patos » : Terme péjoratif. C'est une recherche déplacée d'eefet de style dramatique, des propos plein d'emphases et obscure. Ce sont des propos qui manipulent.
Ligne 37 : « enveloppe » = image, métaphore
Vocabulaire complet et physique de la douleur : « sang, coeur » Ligne 60
Problématique littéraire
Conclusion
La préface de 1832 est un véritable discours social et politique. C'est un texte engagé; autonome qui a une véritable valeur en lui même et dépasse la simple fonction d'introduction et de présentation.
Le texte apparaît plus passionné et polémique qu'argumentatif (droit à la vie). Il est plus réquisitoire que plaidoyer. Le texte s'inscrit dans la longue lutte d'Hugo contre la peine de mort.
Toutefois, le problème littéraire de l'efficacité argumentative du récit est posée. Lecture de documents annexes permettra de replacées le débat dans le contexte de l'époque.