Strophe 2: Les 2 premières strophes ont des rimes suffisantes et sont de types vocaliques ce qui souligne la douceur et par extension la féminité. anaphore "et" accentue le lyrisme. Le vers 7 comporte un enjambement interne. "aimait", "croyait et "croisait" situés graphiquement au même endroit avec un vers de décalage chacun, cette répétition sonore non codée résume la relation du poète et de la jeune fille.
"ingénu" rime avec "nu": echo paradoxal: l'érotisme est lié à l'innocence. strophe 3: rimes riches annoncent l'importance de l'évenement qui va faire basculer le poème. v 9: rythme entrecoupé de virgule + enjambement interne + "contre rejet" (on ne peut pas vraiment parler de contre rejet puisque les hexamètres ne comportent pas de césure" + seule césure interdite de type italienne traduisent l'égarement et l'état de chaos dans lequel se trouve le poète. couleurs sont rejetées en fin de vers 11 et 12 "jaune et vert" "noires": évoque la pourriture et la mort."Jaspé" en début de vers évoque une pierre tombale. strophe 4: 2 enjambement externe des v 13/14 et 15/16. métonymie "hache" en début de vers évoque métaphoriquemnt le fil de la vie. 1 enjambement interne de meme structure de la strophe 1 qui permet d'asdsocier la mort du serpent et celle d'Albaydé.
"tronçons" en césure montre le choc du narrateur, fait echo au titre et symboliquement coupe le vers v14: rappelle le v2 parsa construction nom+verbe l'eau est symbolisé par "pleurs"à rapprocher d'"ondes" et "ruisselle" de "arrose" comme si la nature pleurait le serpent tout comme le narrateur pleure le jeune fille comme le confirme "l'écume des mers"qui occupe un hémistiche entier et en souligne donc l'importance.
"rose" en fin de strophe s'oppose à "noires" en fin de strophe précédente: sang devient symbole de vie. strophe 5:v 17: enjambement interne mime l'aspect rampant. dans les strophes 4 et 5 le son "an" semble signe de vie et de souffrance."vermeil": polysémie: métal>anneau de métal alliage d'or