Critique marxiste du libéralisme
Marx surpasse qualitativement la pensée libérale en faisant la lumière sur des mécanismes encore obscurs ou mal définis chez les physiocrates, les Smith et Ricardo...etc bien que leur cheval de bataille à tous est de découvrir scientifiquement les mécanismes (XVIII) ou les phénomènes (XIX) de la société dans laquelle ils appartiennent. Le libéralisme classique au XIX suit la ligne droite tracée par ces libéraux du XVIII mais en laissant cette transcendance qui subsistent dans ces conceptions sans apporter encore d'explication matérialiste ou scientifique. Le plus évolué des libéraux classiques est James Stuart Mill mais il n'a pu échappé entièrement à cette transcendance. Contrairement aux libéraux classiques, les Néo-libéralistes de toutes disciplines tel que Bastiat et ces descendants spirituels (Mises, Hayek, Popper...) transcendance font de cette le pilier central de leur dogme. On peut dire que Marx a fondé une nouvelle école qui dévie un moment donné de l'histoire de l'école classique. Marx est issu de l'école classique mais aussi la surpasse. On arrive donc à un embranchement avec un chemin orthodoxe de l'école classique, le libéralisme dans sa diversité et un chemin hétérodoxe de l'école classique initié par Marx, le marxisme scientifique. Le marxisme scientifique est homologue à l'école classique tout comme le libéralisme classique. Marx est donc un représentant de l'école classique

Le libéralisme, bien qu'influent, n'est pas la seule doctrine politique à marquer les XIXe et XXe siècles. Nombre d'auteurs se sont en effet opposés au libéralisme, tant du point de vue politique qu'économique.
Parmi ces adversaires, les plus importants sont sans conteste les penseurs qui se réclament du socialisme. Au-delà de leur diversité, réelle, les socialistes ont en commun de faire primer l'égalité sur la liberté, le collectif sur l'individuel et, bien souvent, les rapports économiques sur l'organisation politique. Selon eux, le