D’écrire un village paisible où il fait bon vivre à l’opposer du texte de J.M.G. Le Clézio, « Ville vivante » Le livre des fuites, 1969.

Village fleurie et ensoleillé, maison en bois s’incrustant dans la montagne, ville aux animaux sauvages, aux papillons de couleurs, aux salamandres sur les murs et aux lampadaires solaire. Aux sifflements des oiseaux cachés dans leurs arbres, aux chants des cigales. Doux bruits des voitures électriques qui survolent la route sans un grincement de pneus. Tous cela formaient une mélodie de joie et de bonne humeur dans un village d’air frais et d’eau douce. Les fleurs aromatiques dégageaient des odeurs sublimes. Les gens se déplaçaient la plus part du temps en vélo des gens très agréable qui se réunissaient quelques jours dans le café à la fraicheur matinale. On pouvait attendre à des kilomètres le bruit du ruisseau s’écoulant contre les parois rocheuses de cette montagne dont les personnes se servaient pour arroser leur parterre fleurie avec l’odeur naturelle de l’engrais bien binet. La nuit on pouvait percevoir les animaux marchant, sautent, courant, volant. Le lever du soleil apparaissait sur la place du village avec toutes ces couleurs vivantes jaune, orange, rouge, violet parfois. Cette place accueillait, des bans où les gens se posaient pour lire un livre mais aussi un terrain de pétanque dont les gens se faisaient un plaisir de jouer entre eux et une fontaine d’eau potable en face du café.
C’était ainsi que ce café était ouvert 7 jours sur 7, 24heures sur 24 et où les propriétaires connaissaient toutes les personnes de ce village et aimaient plus que tout aux mondes cette régions de fraicheur