Dossier danse
Vendredi matin, nous sommes allés au théâtre de Corbeil-Essonnes pour participer à un cours de danse africaine. Cette dernière représente la vitalité. Le rythme est fait majoritairement avec des percussions, qui ne sont pas forcément pareil.
Nous avons dansé pieds nus, nous frappions souvent des pieds par terre, et nous avions les genoux fléchis et le dos en avant, c'est une posture typiquement africaine.
On utilise beaucoup notre souffle car la danse africaine est très endurante, on passe d'un rythme plus ou moins lent à un rythme très rapide.
C'est une danse où il faut une grande agilité du corps il y a beaucoup de saut, d'ondulations, de frappes de main etc. Tout notre corps est utilisé. La danse africaine nous fait dépenser beaucoup d'énergie.
L'ambiance était conviviale, de plus le professeur était très sympathique, j'ai vraiment beaucoup aimé.
Le soir même, nous sommes retournés au théâtre de Corbeil, mais cette fois pour aller voir le spectacle de danse africaine, « Boyakodah ». Dans ce spectacle, on peut constater que les danseurs dansent pour communiquer et pour s'exprimer et pour quelque part montrer leur culture. Quand ils dansent, ils nous racontent une histoire, ils veulent nous faire passer un message. Leur danse est très physique, d'ailleurs les danseurs sont très musclés, autant les femmes que les hommes, avec la lumière on voit qu'ils transpirent beaucoup.
On peut voir qu'il y a des gestes inspirés des animaux. On pouvait observer sur leur visage qu'ils étaient joyeux, heureux de danser. Les costumes sont assez colorés avec des couleurs assez « pétante » ce qui peut représenter le bonheur, le joie de vivre. J'ai remarqué qu'il n'y avait que deux objets, un mortier et un pilon, cela représente la force et la reproduction.
Le lien entre ce que nous avons fait le matin et ce que nous avons vu le soir est la représentation du corps. Nous avons pu voir comment en Afrique