Il était au 21 de juin de 1813, le soleil se lever un jour chaleureux sur les toits de Paris, quand la petite fille du général de brigade, Hugues Charlot, dit au revoir à son père. Ils partir vers la Bataille de Vitoria en Espagne. Charlots était un des meilleurs soldats de la France avec 45 ans de service militaire, il était parti a 7 guerre en tournants victorieux, a la tête de plus de 6 brigades. Il était grand, gros et un des plus forts. Touts les soldats levaient la tête vers lui pour le voir passe même se de commende supérieure, un général d’armée, deux généraux de corps d’armée et le général de division, touts ces amiral le tournaient à voir car ils savaient qu’un jour il arrivera à être supérieur a tout soldat de l’armé française, même s’il avait moindre expérience que eux. Lorsqu’ ils arrivèrent prés des tranchées, il demeura un instant à descendre du camion, en priant à dieu pour revenir à revoir sa petite fille, l’unique partie de sa famille restante. Elle représente toute sa jubilation son espoir de finir le conflit pour que quand elle devienne grande elle aille un meilleur monde, en paix et agréable Hugues avait peur de retourner et pas pouvoir voir son petite trésor, sa joie, car chaque fois qu’il rentre la guerre il avait le mal bonheur de qu’un familier lui meurt par des maladies ou par des bombes l’décochait par les avions ennemies. Il avait une autre préoccupation, pas retournait et laissait sa petite fille sans famille, sans de la joie. Finalement il se mit à descendre le camion avec un visage préoccupé. Il marchait ainsi qu’il tenait son fusil SVT38/40, celui qu’il utilisa pendant tous ces batailles, celui qui tua plus de une centaine d’hommes qui était contre la république. Il portait l’uniforme, sur la poitrine à gauche il avait le bouton d’uniforme française, le Fallou, s’était d’un couleur jaunâtre comme la couleur favorite de sa jeune fille et au cote droite il avait la croix de guerre, avec une palme de bronze, une