CAS WARMI

Question :
1/ La finalité d’une entreprise traduit la raison d’être d’une entreprise, sa survie. Cela indique le but qu’elle s’est fixé pour réussir ses objectifs.
Pour l’entreprise WARMI, Sylvia Toth a misé sur la finalité sociétale avec un aspect économique, sociale et environnemental. Pour cela elle a voulu sauvegarder et développé la culture artisanale Colombienne tout en donnant des emplois à des femmes du pays mais en restant dans une production de petite quantité. Elle a aussi cherché à satisfaire sa clientèle en ayant toujours un œil sur la mode parisienne et à assurer une croissance de sa marque en participant aux Ateliers de Paris. De plus, au sein de sa production elle a utilisé des matières « coton bio ». Sa vision peut être comparée à celle de Peter Drucker qui indique qu’il n’y a pas que le profit mais qu’il y a surtout les impacts environnementaux et sociaux.
Les différents facteurs qui ont pu déterminer cette finalité sociétale sont l’origine Colombienne de la créatrice ainsi que ses différentes expériences dans la mode et ses valeurs en travaillant chez de prestigieuses marques telles que Christian Lacroix, Kenzo… mais sûrement l’attente de ses consommateurs potentiels qui l’ont certainement amené à faire ce choix.
2/ Les organismes comme « l’Union des Couveuses de France » et les « Ateliers de Paris » ont été utile à la jeune créatrice d’entreprise car « Les Couveuses » lui ont permis de pouvoir tester son projet en grandeur réelle grâce à une formation qui lui a permis d’apprendre le métier d’entrepreneur. De plus, l’incubateur des « Ateliers de Paris » l’a accompagné dans ses différentes démarches économiques et administratives en proposant un local pour un loyer raisonnable mais aussi des consultants spécialisés.
On peut en déduire que ses organismes sont donc des moyens de minimiser la prise de risque et qu’ils permettent la pérennité de l’entreprise en proposant leur service.
3/
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