Etude linéaire la baignade
Tout d’abord, le récit commence de manière chronologique, Après la journée d’enterrement de la mère du narrateur, la chronologie des événements s’enchaînent (de nombreux connecteurs spatio temporels). C’est ce qui peut faire pencher la caractérisation du texte vers une écriture diariste (c’est-à-dire un journal intime). L’énonciation (celui qui parle, qui raconte) reste très proche des actions relatées. Le jeu narrant (celui qui raconte) est très proche du jeu narré (celui qui est raconté). (Exemple dans les Mémoires d’Outre-tombe de Chateaubriand, il y a une très grande distance entre …afficher plus de contenu…
Elle est caractérisée par son rire. « Elle a encore ri » l.19 avec cet adverbe « encore » qui souligne la fréquence de ce rire. Elle veut aller voir un film comique un film avec Fernandel. II Pourtant, cette tonalité extrêmement joyeuse qu’a le début de cet extrait va être infléchie par un élément qui est « la cravate noire » cherché chez Emmanuel qui rappelle le brassard noir de la 1ère scène. Marie ne dit rien. Pas de parole échangée. Tout va passer par l’attitude. La réaction va crescendo : d’abord c’est un air « l’air surprise » ; l.24 ; puis c’est un mouvement « elle a eu un petit mouvement ». La réaction de Marie dans une société qui est très marquée par les rites religieux, la période de deuil est un temps où on s’abstient des activités de plaisir et des loisirs, ceci en hommage au disparu et ce d’autant plus, qu’ils sont proches et que leur disparition est récente. Ainsi, ce que